Wayard ne compris pas tout de suite où il se trouvait, puis peu à peu la lumière se fit dans son esprit, il était enfin récompensé par ses actes et ses prières de ces derniers mois.
Il était enfin parvenu parmi les siens, parmi les Dieux. Très vite il déchanta en apercevant que d’autres l’avaient suivi.
« NOOOONNNN, je ne suis pas seul à être ici, que la voix de la sagesse et de l’éternité était dure pour un humain. Partez tous d’ici avant que je ne vous tue. »
Peu à peu la folie disparut de l’esprit de l’ancien Seigneur Noir, il reprit conscience et se dirigea avec les autres vers une autre pièce. En voyant les Dieux devant lui, Wayard se mit à trembler de la tête au pied, de la sueur coula le long de son corps pour finir sa route dans la flaque qui était en train de se former à ses pieds.
Il s’avança lentement vers Iridius et s’agenouillât.
« J'espère que vous m'avez pardonné mes péchés. Tous ce que j’ai fait, était pour servir mon peuple et pour vous servir vous, oh grand Dieu, Je jure de vous être fidèle jusqu'à la mort" »
[RP] L'avenir est entre nos mains !
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Dernière modification par Wayard le 02 février 2015, 22:27, modifié 1 fois.
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
/!\ Pavé
[Au temple d'Etrüen]
Alors que les peuples se pressaient de plus en plus dans le temple pour voir ce que pouvait bien faire ce Ghan le vieux, rien ne se passait de bien extraordinaire. Quelques purifiés tentaient de rentrer en communication avec leurs avatars, ou les dieux le paladin ne le savait guère, d'autre tentaient de soigner le vieux personnage, mais celui-ci demeurait imperturbable et semblait perdu dans ses pensée, il faudrait encore attendre.
Trouvant un coin de libre, il s'y installa tant bien que mal et sortit un morceau de pain ainsi que de la viande de Bewok séchée, si il fallait attendre autant le faire le ventre plein. Alors qu'il dégustait son lunch, Ghan le vieux s'était comme réveillé d'un coup et avait commencé à assembler le puzzle divin se trouvant devant lui, mais cela le vieux paladin n'y avait pas prêté attention, absorbé par son repas. Ce n'est que lorsqu'il eu fini et ferma les yeux pour profiter de cette sensation de satiété qu'il sentit comme un changement dans l'air et les bruits ambiant.
[Au temple des dieux, sur Linus]
L'air était devenu d'une moiteur asséchant sa gorge, presque absent mais toujours là et d'une chaleur glacial, bref l'air était vraiment devenus étrange. Le bruit de la salle aussi avait changé, de brouhaha il semblait être celui d'une armée de milliers d'homme à présent, ouvrant les yeux intrigué il cligna plusieurs fois des paupières pour être sûr de ce qu'il voyait et si il n'était dans en train de rêver ou même de mal digérer son repas.
Mais à voir la tête des autres personne présente et leur réaction tous devaient faire le même rêve ou cauchemar, tournant les yeux il vit qu'à coté de lui se trouvait, bah rien un vide si grand qu'il n'avait de forme ou de contenant, à 1 mètre près il serait en train d'essayer d'y toucher le fond. Se levant il partit se réfugier contre un grand mur de pierre, solide, stable et bien présent, reprenant ses esprits il vit que toute la population de l'île était présente, et tout le monde se demandait ce qu'il pouvait bien faire ici, la plupart était au temple donc habillé et prêt à toute éventualité, mais certains n'était visiblement pas prêt à quoi que ce soit, ou pris au mauvais moment.
Il vit certains aventurer passer par une sorte d'arche qui servait de porte dans le mur, regardant le vide s'éloigner il les suivit et vit au bout d'un couloir une porte gigantesque, s'en approchant il découvrit une inscription, que seul un dieu pourrait l'ouvrit. Prenant une grande inspiration pleine de confiance il la poussa, et ... rien ne bougea, devant le regard de ses voisin qui ne comprenait pas forcément son geste et lui indiquait l'écriture il haussa les épaules :
"Bah quoi, rien ne coût d'essayer."
Profitant de ce moment de pause il scruta cette nouvelle salle, très simple en fait, aucun trou sans fond pour vous faire disparaître mais des fenêtre.
"Tient il doit être tard on peut voir Fibus, je me demande où est Linua ?" Se parla tout haut le vieux paladin. S'approchant il voulu savoir où il se trouvait, pour estimer le voyage fait en si peu de temps. Baissant les yeux il découvrit une immense étendue d'eau avec un île en son centre. Apparemment il devait être au sommet d'une montagne, mais qu'elle montagne pouvait être si haute que l'on puisse voir une planète en entier ? Regardant plus attentivement l'île, elle lui semblait comme famillière, des montagnes d'un coté, une grande foret d'un autre coté, puis une plaine en son centre avec un prolongement pointillé de jaune qui allait se jeter dans la mer. De forte lumière émanait de divers point de l'île, 8 en fait, et autour semblait se trouver de grande construction comme des villes.
Lorsqu'il reconnu ce qu'il avait devant les yeux il buga un moment, comme si son cerveau demandait une nouvelle vérification ou avait pris des vacances soudaines et non autorisée. Après être revenu à lui se rapprocha du centre de la pièce ou Lazare cherchait à en savoir plus sur ce lieux. Le prenant par l'épaule il le tourna face à la fenêtre et tout en lui indiquant Fibus et l'île il bredouilla :
"Je..jje crois qu'on qu'on est sur" il déglutit bruyamment "sur Linus"
Puis lui souriant il partit contre la porte dans l'attente d'une nouvelle surprise, que pouvait-il bien se trouver là derrière ? Des dieux ? Il riait intérieurement, mais c'était plus nerveux que de sa pensée.
Le temps passa et un bruit sourd se fit entendre, la porte bougea et les premiers aventuriers l'avaient passée. Les suivant prudemment il fut quelque peu éblouis par ce qu'il voyait, du moins l'éclairait, une fois ses yeux habitué il découvris 4 grande silhouettes regardant les petits habitants les rejoindre. Des dieux, les dieux, leur dieux étaient là à les regarder s'approcher, s'avançant prudemment il jeta un dernier regard à la fenêtre, comme pour s'assurer qu'il était toujours là où il était avant et oui la même vue. S'approchant des silhouettes il baissa les yeux signes de respects devant Gorhann, Hécate, Sorad et plia le genou devant Iridius, posant les mains au sol il fixa la dalle située entre ses mains et dit :
"Mon dieu, je vous voit enfin, quel honneur pour vos simples créatures.".
Puis attendant une réponse, même sans être sûr d'en avoir une, après tout un dieu n'était pas obligé de répondre à sa créature, il examina la salle, des tas d'or par ci par là, de grande colonnade imposante et deux table de pierre, l'une garnie d'un modeste coffre bleue et l'autre, devant Hécate, avec un truc étrange dessus. Ces coffres avaient-ils un lien avec celui du temple d'Etrüen ? L'avenir le lui dirait, enfin il l'espérait.
[Au temple d'Etrüen]
Alors que les peuples se pressaient de plus en plus dans le temple pour voir ce que pouvait bien faire ce Ghan le vieux, rien ne se passait de bien extraordinaire. Quelques purifiés tentaient de rentrer en communication avec leurs avatars, ou les dieux le paladin ne le savait guère, d'autre tentaient de soigner le vieux personnage, mais celui-ci demeurait imperturbable et semblait perdu dans ses pensée, il faudrait encore attendre.
Trouvant un coin de libre, il s'y installa tant bien que mal et sortit un morceau de pain ainsi que de la viande de Bewok séchée, si il fallait attendre autant le faire le ventre plein. Alors qu'il dégustait son lunch, Ghan le vieux s'était comme réveillé d'un coup et avait commencé à assembler le puzzle divin se trouvant devant lui, mais cela le vieux paladin n'y avait pas prêté attention, absorbé par son repas. Ce n'est que lorsqu'il eu fini et ferma les yeux pour profiter de cette sensation de satiété qu'il sentit comme un changement dans l'air et les bruits ambiant.
[Au temple des dieux, sur Linus]
L'air était devenu d'une moiteur asséchant sa gorge, presque absent mais toujours là et d'une chaleur glacial, bref l'air était vraiment devenus étrange. Le bruit de la salle aussi avait changé, de brouhaha il semblait être celui d'une armée de milliers d'homme à présent, ouvrant les yeux intrigué il cligna plusieurs fois des paupières pour être sûr de ce qu'il voyait et si il n'était dans en train de rêver ou même de mal digérer son repas.
Mais à voir la tête des autres personne présente et leur réaction tous devaient faire le même rêve ou cauchemar, tournant les yeux il vit qu'à coté de lui se trouvait, bah rien un vide si grand qu'il n'avait de forme ou de contenant, à 1 mètre près il serait en train d'essayer d'y toucher le fond. Se levant il partit se réfugier contre un grand mur de pierre, solide, stable et bien présent, reprenant ses esprits il vit que toute la population de l'île était présente, et tout le monde se demandait ce qu'il pouvait bien faire ici, la plupart était au temple donc habillé et prêt à toute éventualité, mais certains n'était visiblement pas prêt à quoi que ce soit, ou pris au mauvais moment.
Il vit certains aventurer passer par une sorte d'arche qui servait de porte dans le mur, regardant le vide s'éloigner il les suivit et vit au bout d'un couloir une porte gigantesque, s'en approchant il découvrit une inscription, que seul un dieu pourrait l'ouvrit. Prenant une grande inspiration pleine de confiance il la poussa, et ... rien ne bougea, devant le regard de ses voisin qui ne comprenait pas forcément son geste et lui indiquait l'écriture il haussa les épaules :
"Bah quoi, rien ne coût d'essayer."
Profitant de ce moment de pause il scruta cette nouvelle salle, très simple en fait, aucun trou sans fond pour vous faire disparaître mais des fenêtre.
"Tient il doit être tard on peut voir Fibus, je me demande où est Linua ?" Se parla tout haut le vieux paladin. S'approchant il voulu savoir où il se trouvait, pour estimer le voyage fait en si peu de temps. Baissant les yeux il découvrit une immense étendue d'eau avec un île en son centre. Apparemment il devait être au sommet d'une montagne, mais qu'elle montagne pouvait être si haute que l'on puisse voir une planète en entier ? Regardant plus attentivement l'île, elle lui semblait comme famillière, des montagnes d'un coté, une grande foret d'un autre coté, puis une plaine en son centre avec un prolongement pointillé de jaune qui allait se jeter dans la mer. De forte lumière émanait de divers point de l'île, 8 en fait, et autour semblait se trouver de grande construction comme des villes.
Lorsqu'il reconnu ce qu'il avait devant les yeux il buga un moment, comme si son cerveau demandait une nouvelle vérification ou avait pris des vacances soudaines et non autorisée. Après être revenu à lui se rapprocha du centre de la pièce ou Lazare cherchait à en savoir plus sur ce lieux. Le prenant par l'épaule il le tourna face à la fenêtre et tout en lui indiquant Fibus et l'île il bredouilla :
"Je..jje crois qu'on qu'on est sur" il déglutit bruyamment "sur Linus"
Puis lui souriant il partit contre la porte dans l'attente d'une nouvelle surprise, que pouvait-il bien se trouver là derrière ? Des dieux ? Il riait intérieurement, mais c'était plus nerveux que de sa pensée.
Le temps passa et un bruit sourd se fit entendre, la porte bougea et les premiers aventuriers l'avaient passée. Les suivant prudemment il fut quelque peu éblouis par ce qu'il voyait, du moins l'éclairait, une fois ses yeux habitué il découvris 4 grande silhouettes regardant les petits habitants les rejoindre. Des dieux, les dieux, leur dieux étaient là à les regarder s'approcher, s'avançant prudemment il jeta un dernier regard à la fenêtre, comme pour s'assurer qu'il était toujours là où il était avant et oui la même vue. S'approchant des silhouettes il baissa les yeux signes de respects devant Gorhann, Hécate, Sorad et plia le genou devant Iridius, posant les mains au sol il fixa la dalle située entre ses mains et dit :
"Mon dieu, je vous voit enfin, quel honneur pour vos simples créatures.".
Puis attendant une réponse, même sans être sûr d'en avoir une, après tout un dieu n'était pas obligé de répondre à sa créature, il examina la salle, des tas d'or par ci par là, de grande colonnade imposante et deux table de pierre, l'une garnie d'un modeste coffre bleue et l'autre, devant Hécate, avec un truc étrange dessus. Ces coffres avaient-ils un lien avec celui du temple d'Etrüen ? L'avenir le lui dirait, enfin il l'espérait.
"Parole" *Pensée*
Je serait la lumière qui percera au delà des ténèbres, l'espoir auquel les peuples libres pourront se raccrocher, le guide des âmes perdues.
Bref je suis de retour.
Je serait la lumière qui percera au delà des ténèbres, l'espoir auquel les peuples libres pourront se raccrocher, le guide des âmes perdues.
Bref je suis de retour.
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Alors que l'attente de ce que les dieux leur réservait commençait à durer, cette attente paru bien peu de choses face à la splendeur que l'on pu contempler ensuite : tous avaient été transporté dans un temple, un palais majestueux, énorme de par ses dimensions, magnifique de par sa beauté, intimidant de par l'aura de respect qu'il incitait.
Tous étaient sur le parvis de cet édifice. Les dieux, aucuns ne les voyaient, mais un chemin était devant eux, et au loin un immense portail massif. Certainement, ils étaient derrière. Prudemment et avec un peu d'hésitation, chacun avançait. Les réactions étaient diverses.
Pour Shyveno, il était désorienté dans un premier temps, et resta à contempler l'extérieur. Les arches donnaient sur un paysage inconnu et pourtant familier. Il fut aisé de reconnaître Fibus. La lune rouge était éclatante, et certainement plus grande que l'on ne le croyait. Elle coupait le souffle. Plus bas, un monde s'étendait. Il était aussi étranger, avant que l'on ne puisse reconnaître certaines formes en les comparant de mémoire avec de vieilles cartes. Ici, le marais de Valoundra, là le pic de Lurhilis, là encore, les plaines paladines du nord. La Tédéhessie. Le magicien eut le tournis. Il essaya d'appréhender cet vision, tout ce nouveau monde, cette perspective nouvelle, mais elle le dépassait.
Il entendit Agendorf, le paladin qu'il respectait le plus, le régent de Tradiria, dire qu'ils se trouvaient sur Linua. Shyveno fut surprit, et cru qu'il plaisantait tant cela paraissait absurde à son esprit. Mais après quelques instants, il dut le reconnaître :
"Je crois bien que tu ais... tu ais raison, Agendorf."
Il revint alors au temple. Il n'était guère temps de lambiner. Les dieux, certes, auraient la patience d'attendre que leurs enfants se remettent de leurs émotions, mais ils ne vont pas attendre non plus éternellement. Certains étaient devant la porte, et la poussait. Shyveno se joignit à eux. Et un spectacle encore plus surprenant les attendait : Sorad, Gorhann, Hécate et Iridius les attendaient, et les dominaient.
Shyveno eut un de ses rares moments d'humilité. Il passa devant Gorhann, et s'inclina respectueusement. Le dieu des nains n'a jamais été proche des humains, et moins encore des rebelles, c'est de lui que venait des savoirs que tous utilisaient, et ce sont des nains qui avaient bâtit Thanria, la forteresse rebelle. L'homme s'inclina aussi devant Hécate. De même que pour Gorhann, elle n'avait pas été proche, mais les Rebelles avaient eut des liens forts avec ses enfants : Amitiés, rivalités, trahisons... Shyveno tressaillit un instant devant l'intensité de son regard qui mêlait amusement, intelligence, avec une nuance de dangerosité cruelle et quelque chose d'encore indéfinissable.
Il arriva ensuite devant Sorad. Il s'enclina longtemps devant lui. Il devait beaucoup au dieu des elfes : la forêt qui protégeait les Rebelles, toute sa science de la magie, et ses liens avec les elfes, d'abord les Drows, ensuite les Namidas.
Enfin, il arriva devant Iridius, devant lequel il posa un genou à terre. Iridius, le puissant qui avait conçu les humains, qui leur avait donné la vie. C'était d'Iridius que le jeune homme tenait son audace et sa fierté.
"Seigneur Iridius, je suis vraiment honoré que vous me permettiez de me tenir devant vous. Dites-nous ce que vous attendez de nous."
Tous étaient sur le parvis de cet édifice. Les dieux, aucuns ne les voyaient, mais un chemin était devant eux, et au loin un immense portail massif. Certainement, ils étaient derrière. Prudemment et avec un peu d'hésitation, chacun avançait. Les réactions étaient diverses.
Pour Shyveno, il était désorienté dans un premier temps, et resta à contempler l'extérieur. Les arches donnaient sur un paysage inconnu et pourtant familier. Il fut aisé de reconnaître Fibus. La lune rouge était éclatante, et certainement plus grande que l'on ne le croyait. Elle coupait le souffle. Plus bas, un monde s'étendait. Il était aussi étranger, avant que l'on ne puisse reconnaître certaines formes en les comparant de mémoire avec de vieilles cartes. Ici, le marais de Valoundra, là le pic de Lurhilis, là encore, les plaines paladines du nord. La Tédéhessie. Le magicien eut le tournis. Il essaya d'appréhender cet vision, tout ce nouveau monde, cette perspective nouvelle, mais elle le dépassait.
Il entendit Agendorf, le paladin qu'il respectait le plus, le régent de Tradiria, dire qu'ils se trouvaient sur Linua. Shyveno fut surprit, et cru qu'il plaisantait tant cela paraissait absurde à son esprit. Mais après quelques instants, il dut le reconnaître :
"Je crois bien que tu ais... tu ais raison, Agendorf."
Il revint alors au temple. Il n'était guère temps de lambiner. Les dieux, certes, auraient la patience d'attendre que leurs enfants se remettent de leurs émotions, mais ils ne vont pas attendre non plus éternellement. Certains étaient devant la porte, et la poussait. Shyveno se joignit à eux. Et un spectacle encore plus surprenant les attendait : Sorad, Gorhann, Hécate et Iridius les attendaient, et les dominaient.
Shyveno eut un de ses rares moments d'humilité. Il passa devant Gorhann, et s'inclina respectueusement. Le dieu des nains n'a jamais été proche des humains, et moins encore des rebelles, c'est de lui que venait des savoirs que tous utilisaient, et ce sont des nains qui avaient bâtit Thanria, la forteresse rebelle. L'homme s'inclina aussi devant Hécate. De même que pour Gorhann, elle n'avait pas été proche, mais les Rebelles avaient eut des liens forts avec ses enfants : Amitiés, rivalités, trahisons... Shyveno tressaillit un instant devant l'intensité de son regard qui mêlait amusement, intelligence, avec une nuance de dangerosité cruelle et quelque chose d'encore indéfinissable.
Il arriva ensuite devant Sorad. Il s'enclina longtemps devant lui. Il devait beaucoup au dieu des elfes : la forêt qui protégeait les Rebelles, toute sa science de la magie, et ses liens avec les elfes, d'abord les Drows, ensuite les Namidas.
Enfin, il arriva devant Iridius, devant lequel il posa un genou à terre. Iridius, le puissant qui avait conçu les humains, qui leur avait donné la vie. C'était d'Iridius que le jeune homme tenait son audace et sa fierté.
"Seigneur Iridius, je suis vraiment honoré que vous me permettiez de me tenir devant vous. Dites-nous ce que vous attendez de nous."
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
[Reservé coming soon]
"Connaissez vous et vous connaitrez votre Ennemi" 
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Lazare ne vit rien venir, un éclair le traversa, il se crispa et lorsqu'il ouvrit les yeux, il fut stupéfait ! il se retrouvait avec tout les personnes de l'île mais un endroit bien différent de celui du temple d'Ertuen. Il se releva sans difficulté et s'avança comme la plupart des autres personnes vers le vieil elfe qui se tenait au centre de l'allée. il regarder avec soin, l'architecture et ne reconnaissait pas l'endroit. Il s'approcha enfin du namida :
- Enchanté, je me nomme Lazare et... ou sommes nous ?
Le jeune purifié n'eut pas la peine d'attendre une réponse, une main, celle d'Agendorf, vint se poser sur son épaule puis lui fit signe de regarder sur le coté sur le coté. Alors que le paladin lui expliquait que l'on pouvait voir l'île. Lazare n'en revenait pas tout lui revint à l'esprit, le mot "linua" prononcer avant le choc par le namida, le vue de l'île, et... fibus, la lune emprisonnant des milliers d'âmes... Il écarquilla les yeux et se retourna vers l'allée, oubliant Agendorf au passage et prononça ces mots :
- La palais des dieux...
A ces mots, son extase arrêta, le même bruit sourd mais plus fort cette fois ce fit entendre dans sa tête, puis une grande vibration s'en suivit. Il tituba un instant mais s'aida de la magie pour se redresser. Il secoua la tête, en se demandant pourquoi il avait de tel vertige, ses sens ne montraient pourtant pas de signe de danger autour de lui. Juste cette puissance magique qui venait de la grande porte au fond de la grande allée. après quelques instant, il se décida à faire comme les autres : voir ce qui se trouvait au delà de cette imposante porte...
- Enchanté, je me nomme Lazare et... ou sommes nous ?
Le jeune purifié n'eut pas la peine d'attendre une réponse, une main, celle d'Agendorf, vint se poser sur son épaule puis lui fit signe de regarder sur le coté sur le coté. Alors que le paladin lui expliquait que l'on pouvait voir l'île. Lazare n'en revenait pas tout lui revint à l'esprit, le mot "linua" prononcer avant le choc par le namida, le vue de l'île, et... fibus, la lune emprisonnant des milliers d'âmes... Il écarquilla les yeux et se retourna vers l'allée, oubliant Agendorf au passage et prononça ces mots :
- La palais des dieux...
A ces mots, son extase arrêta, le même bruit sourd mais plus fort cette fois ce fit entendre dans sa tête, puis une grande vibration s'en suivit. Il tituba un instant mais s'aida de la magie pour se redresser. Il secoua la tête, en se demandant pourquoi il avait de tel vertige, ses sens ne montraient pourtant pas de signe de danger autour de lui. Juste cette puissance magique qui venait de la grande porte au fond de la grande allée. après quelques instant, il se décida à faire comme les autres : voir ce qui se trouvait au delà de cette imposante porte...
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Mathm n’était pas croyant, il ne considère pas les Dieux comme des personnes à respecter, mais plutôt à haïr pour tout le mal qu’ils font sur cette terre. Quand le nain arriva dans ce lieu grandiose, il fut naturellement subjugué par ce qu’il voyait.
C’est magnifique, mais ce n’est pas avec de l’or que l’on achètera ma croyance.
L’archer nain arriva devant les Dieux en même temps que Shaolan, il le vit dégainer ses épées. Le nain compris tout de suite ce que voulait faire l’Elfe, il pensait toujours à Idril. Il accourut pour arrêter cette folie, on ne s’attaque pas seul à des géants.
Shaolan arrête toi, ne fait pas cela. La venger ne te la ramèneras pas, ne nous la ramèneras pas. Elle est perdue à jamais.
En disant ces mots, le nain mit sa main sur l’épaule de Shaolan. Tout à coup, Sorad, s’avança vers l’elfe et prononça ces paroles dans son oreille. Le nain tout à côté entendit tout de même ces paroles.
"Puisses-tu nous pardonner mon fils...nous n'avons pu la sauver...."
Enervé, le nain répondit dans sa barbe
Je pense qu’il y a certains mots que des soi disant dieux n’ont pas le droit d’utiliser, le verbe pouvoir en fait partie.
C’est magnifique, mais ce n’est pas avec de l’or que l’on achètera ma croyance.
L’archer nain arriva devant les Dieux en même temps que Shaolan, il le vit dégainer ses épées. Le nain compris tout de suite ce que voulait faire l’Elfe, il pensait toujours à Idril. Il accourut pour arrêter cette folie, on ne s’attaque pas seul à des géants.
Shaolan arrête toi, ne fait pas cela. La venger ne te la ramèneras pas, ne nous la ramèneras pas. Elle est perdue à jamais.
En disant ces mots, le nain mit sa main sur l’épaule de Shaolan. Tout à coup, Sorad, s’avança vers l’elfe et prononça ces paroles dans son oreille. Le nain tout à côté entendit tout de même ces paroles.
"Puisses-tu nous pardonner mon fils...nous n'avons pu la sauver...."
Enervé, le nain répondit dans sa barbe
Je pense qu’il y a certains mots que des soi disant dieux n’ont pas le droit d’utiliser, le verbe pouvoir en fait partie.
Pensées
Paroles
Premier archer de Thanitoria, ancien diplomate de la Horde Naine,Ancien Maître archer des Amazones de Minuits, Protecteur du Clan de L'espoir, élève de Pancrace.
Paroles
Premier archer de Thanitoria, ancien diplomate de la Horde Naine,Ancien Maître archer des Amazones de Minuits, Protecteur du Clan de L'espoir, élève de Pancrace.
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
- Le palais des dieux...
Toujours en lévitation dans cette abyme, Hercule entendit une voix, cette voix à la fois si éloignée et si proche, qu'il tournait la tête et espérait voir quelqu'un. il n'arrivait toujours pas à se débattre, ses membres ne l'obéissait pas. Puis un ricanement le stoppa net, ce ricanement qu'il reconnut, ce ricanement qu'il aurait aimer ne plus entendre, le ricanement d'une personne qu'il pensait avoir banni à jamais, mais le paladin se doutait bien qu'elle était toujours tapis dans l'ombre puisqu’il était toujours conscient.
- Montre toi Ulrich... je sais que tu es la... Comment est ce possible !
le damné sortit de l'ombre comme si une certaine lumière éclairait l'endroit. Il était très mal-en-point, complétement décharné, la peaux sur les os, de large blessures encore béante mais qui ne saignaient pas. toujours avec son masque et ce qui restait de sa cape. Il titubait et avait du mal à se tenir debout, il n'était plus que l'ombre de lui même, mais il était toujours la, à la différence prêt, il ne souriait pas ! sans un mot, il se rua sur hercule. Ce dernier voulu se protéger mais ne le put, hercule ferma les yeux puis... rien, un bruit de chaine se fit entendre entre les râles du damné. hercule ouvrit les yeux et constata que le damné était enchainé avec de lourde chaînes qui se perdaient dans le noir absolu. lui aussi en avait mais plus courte et raide comme un bâton de bois.
- Foutue chaîne !!! comment je vais faire pour te tuer une bonne fois pour toute, il n'y a que moi qui ait le droit de posséder la puissance des dieux, toi tu es faible, faible ! faible !
Ulrich s'énerva, un nuage rouge sortit de lui et forma deux grandes haches qui s’abattirent sur les chaînes. Un bruit sourd ainsi qu'un énorme souffle se dégagea de l'attaque. Hercule regarda avec frayeur que le damné était libéré, ce dernier riait et sautillait sur place, en marmonnant sur sa réussite ! puis un sourire carnassier se dessina sur le visage d'Ulrich qui dévisageait le paladin.
- Je vais ECRASER ton dieu !!! tous même ! je vais être le vampire le plus puissant de l'univers et tu ne pourras pas m'en empêcher !!!
- Tu ne pourras jamais y arriver ! regarde toi ! tu ne vaux plus rien ! cesse donc cette chasse au pouvoir !
Ulrich tendit une main, une sphère rouge apparue, Hercule percuta à l'instant même, le damné allait utiliser une fois de plus un autre être en le controlant. le paladin ne le suporta pas, il fonça les sourcils et un nuage dorée commençait à s'échappait de son corps.
- tu ne crois pas que je vais rester planter la et te laisser faire... dit le paladin en serrant les dents.
Toujours en lévitation dans cette abyme, Hercule entendit une voix, cette voix à la fois si éloignée et si proche, qu'il tournait la tête et espérait voir quelqu'un. il n'arrivait toujours pas à se débattre, ses membres ne l'obéissait pas. Puis un ricanement le stoppa net, ce ricanement qu'il reconnut, ce ricanement qu'il aurait aimer ne plus entendre, le ricanement d'une personne qu'il pensait avoir banni à jamais, mais le paladin se doutait bien qu'elle était toujours tapis dans l'ombre puisqu’il était toujours conscient.
- Montre toi Ulrich... je sais que tu es la... Comment est ce possible !
le damné sortit de l'ombre comme si une certaine lumière éclairait l'endroit. Il était très mal-en-point, complétement décharné, la peaux sur les os, de large blessures encore béante mais qui ne saignaient pas. toujours avec son masque et ce qui restait de sa cape. Il titubait et avait du mal à se tenir debout, il n'était plus que l'ombre de lui même, mais il était toujours la, à la différence prêt, il ne souriait pas ! sans un mot, il se rua sur hercule. Ce dernier voulu se protéger mais ne le put, hercule ferma les yeux puis... rien, un bruit de chaine se fit entendre entre les râles du damné. hercule ouvrit les yeux et constata que le damné était enchainé avec de lourde chaînes qui se perdaient dans le noir absolu. lui aussi en avait mais plus courte et raide comme un bâton de bois.
- Foutue chaîne !!! comment je vais faire pour te tuer une bonne fois pour toute, il n'y a que moi qui ait le droit de posséder la puissance des dieux, toi tu es faible, faible ! faible !
Ulrich s'énerva, un nuage rouge sortit de lui et forma deux grandes haches qui s’abattirent sur les chaînes. Un bruit sourd ainsi qu'un énorme souffle se dégagea de l'attaque. Hercule regarda avec frayeur que le damné était libéré, ce dernier riait et sautillait sur place, en marmonnant sur sa réussite ! puis un sourire carnassier se dessina sur le visage d'Ulrich qui dévisageait le paladin.
- Je vais ECRASER ton dieu !!! tous même ! je vais être le vampire le plus puissant de l'univers et tu ne pourras pas m'en empêcher !!!
- Tu ne pourras jamais y arriver ! regarde toi ! tu ne vaux plus rien ! cesse donc cette chasse au pouvoir !
Ulrich tendit une main, une sphère rouge apparue, Hercule percuta à l'instant même, le damné allait utiliser une fois de plus un autre être en le controlant. le paladin ne le suporta pas, il fonça les sourcils et un nuage dorée commençait à s'échappait de son corps.
- tu ne crois pas que je vais rester planter la et te laisser faire... dit le paladin en serrant les dents.
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Divinio
- Messages : 1213
- Inscription : 07 février 2013, 11:04
- Localisation : Divinio ! - Heuuu Vinio ! "Tchaakk" - Tiens, ça t'apprendra à te foutre de moi !!!
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Comme tout un chacun dans les abysses, Divinio avait bien reçu l'information qui réclamait l'attention de tous. Comme tout un chacun dans les abysses, il avait entrepris de retrouver les artefacts requis pas les dieux. Et comme tout un chacun dans les abysses, il avait fouillé chaque recoin de ce territoire abyssal qu'il connaissait par cœur. Mais en vainc ! Il n'avait rien trouvé et ses frères et sœurs eux aussi étaient restés bredouilles. Voilà de quoi emplir l'âme de ses chercheurs de fond d'intrigue et d'incompréhension teintées d'une pointe de désespoir. Mais qu'à cela ne tienne, les nains ont cette qualité qui fait d'eux des êtres à part : même dans l'adversité, même dans la déroute chacun des abyssaux avait ce formidable don de reculer pour mieux sauter.
Quand l'annonce de la réunion des éléments que les dieux nous souhaitaient voir trouver fut faite, les abyssaux surent qu'il ne restait plus qu'à rejoindre les autres Tédéhessiens au temple d'Ertuën afin d'assister à la suite des évènements. Au bout d'une journée à patienter dans ce lieu de piété entourés de toutes ces grandes pattes, grandes dents et grandes oreilles, les petits de partout ou presque commençaient déjà à s'impatienter ! Visant l'ensemble de sa communauté, Divinio s'aperçut qu'il en manquait un. Enfin... Une plutôt ! Akora n'était plus là et avant que le poète n'en parle à ses congénères, un corbeau vint se poser près du campement des nabots. Div' décrocha le message de la patte du volatile et lut à voix haute :
- Que ? Qu'est-ce que ??? Mais je... Divinio à demi hébété se posa sur son séant l'air interrogatif.
Il rassembla rapidement ses esprits et regarda tout autour de lui. Ce... Ce lieu m'est inconnu. C'était assurément un palais... mais alors un palais aux dimensions démesurées. un sol aux pierres finement taillées, des colonnes plus hautes que la cime des plus grands arbres de l'île, des voûtes arrondies à la perfection et au centre un tapis rouge tissé, incomparable, presque indicible. En s'approchant du bord, le nain put voir à la fois au-dessus de lui une lune rougeoyante de plus près qu'il ne l'aurait jamais espéré et au-dessous de lui... rien d'autre que la Tédéhessie toute entière. L'effarement se lit enfin dans ses yeux quand il s'approcha d'une double porte. Elle était si imposante que même celle dont il était si fier et qui restait pour lui et ses compatriotes la seule porte qui imposait le respect paraissait anodine. Ah oui mesdames et messieurs, sans mentir la porte des âmes paraissait vraiment ridicule à côté de celle-ci !
Puisque tout le monde présent ici s'en approchait, le poète en fit de même. Sans un bruit et dans un mouvement délicat, la porte s’entrouvrit alors. Divinio la passa en la touchant de la main pour s'assurer qu'il ne rêvait pas quand soudain ses yeux faillirent sortir de leurs orbites.
- C'est... Mais c'est... G-GGhh Gorhann ! finit par lâcher le petit être si difficilement impressionnable
Il s'empressa alors de s'approcher de son dieu et fit une révérence en posant un genou à terre de manière disgracieuse mais pleine de respect. Relevant la tête en proie à l'émotion, il put alors entendre la divinité lui adresser la parole :
- Merci mon dieu, mais je n'ai fais que vous servir le plus loyalement possible et je ne sais si mes actes ont tant de mérites, néanmoins sachez que mes frères et moi n'avons fait que marcher humblement dans votre ombre !
Après cet échange si bref et pourtant si intense, Divinio n'avait plus besoin de rien, ni de personne. Tout allait très bien. Le monde pouvait s'écrouler et le poète pouvait enfin mourir sereinement. Quoique avant que cela n'arrive, il restait encore une chose qu'il souhaitait faire. Une dernière chose : écrire un dernier poème avant de s'éteindre.
Quand l'annonce de la réunion des éléments que les dieux nous souhaitaient voir trouver fut faite, les abyssaux surent qu'il ne restait plus qu'à rejoindre les autres Tédéhessiens au temple d'Ertuën afin d'assister à la suite des évènements. Au bout d'une journée à patienter dans ce lieu de piété entourés de toutes ces grandes pattes, grandes dents et grandes oreilles, les petits de partout ou presque commençaient déjà à s'impatienter ! Visant l'ensemble de sa communauté, Divinio s'aperçut qu'il en manquait un. Enfin... Une plutôt ! Akora n'était plus là et avant que le poète n'en parle à ses congénères, un corbeau vint se poser près du campement des nabots. Div' décrocha le message de la patte du volatile et lut à voix haute :
Comme un seul homme, les abyssaux se levèrent et se dirigèrent vers le labyrinthe. Les uns partirent en trombe, les autres suivaient tant bien que mal et Divinio, fidèle à lui-même, avançait plus vite dans sa tête qu'avec ses jambes. Du coup quand la plupart des nains étaient arrivés, lui en était encore qu'à mi-chemin. Il se demandait qu'elle idée avait germé dans l'esprit d'Akora, pourquoi tout le monde stagnait au temple et pourquoi... Ah oui pourquoi j'suis là moi ? A la fois au milieu de rien et au centre de tout ? Le Pouet-Pouet ne savait plus que faire. Suivre ses compagnons ou bien retourner à Ertü..........................La quête semble avancer et je pense que les prochains évènements provoqueront le réveil du dragon emprisonné dans la glace dans le labyrinthe, je vous invite donc à m'y rejoindre!
- Que ? Qu'est-ce que ??? Mais je... Divinio à demi hébété se posa sur son séant l'air interrogatif.
Il rassembla rapidement ses esprits et regarda tout autour de lui. Ce... Ce lieu m'est inconnu. C'était assurément un palais... mais alors un palais aux dimensions démesurées. un sol aux pierres finement taillées, des colonnes plus hautes que la cime des plus grands arbres de l'île, des voûtes arrondies à la perfection et au centre un tapis rouge tissé, incomparable, presque indicible. En s'approchant du bord, le nain put voir à la fois au-dessus de lui une lune rougeoyante de plus près qu'il ne l'aurait jamais espéré et au-dessous de lui... rien d'autre que la Tédéhessie toute entière. L'effarement se lit enfin dans ses yeux quand il s'approcha d'une double porte. Elle était si imposante que même celle dont il était si fier et qui restait pour lui et ses compatriotes la seule porte qui imposait le respect paraissait anodine. Ah oui mesdames et messieurs, sans mentir la porte des âmes paraissait vraiment ridicule à côté de celle-ci !
Puisque tout le monde présent ici s'en approchait, le poète en fit de même. Sans un bruit et dans un mouvement délicat, la porte s’entrouvrit alors. Divinio la passa en la touchant de la main pour s'assurer qu'il ne rêvait pas quand soudain ses yeux faillirent sortir de leurs orbites.
- C'est... Mais c'est... G-GGhh Gorhann ! finit par lâcher le petit être si difficilement impressionnable
Il s'empressa alors de s'approcher de son dieu et fit une révérence en posant un genou à terre de manière disgracieuse mais pleine de respect. Relevant la tête en proie à l'émotion, il put alors entendre la divinité lui adresser la parole :
venait de lui souffler à l'oreille Gorhann. La fierté du nabot était à son paroxysme. Rendez-vous compte, non seulement son dieu lui adressait la parole, et en premier, mais en plus de cela même Iridius le connaissait !-" D'ici, j'ai vu tes exploits fils nains, et ils sont nombreux .Mais ce que tu ignores est un prodige que tu ne peux même imaginer. Ce dont tu peux être le plus fier, c'est d'avoir fait rire l'irascible Iridius..le divini'heaume, quel belle trouvaille!!".
- Merci mon dieu, mais je n'ai fais que vous servir le plus loyalement possible et je ne sais si mes actes ont tant de mérites, néanmoins sachez que mes frères et moi n'avons fait que marcher humblement dans votre ombre !
Après cet échange si bref et pourtant si intense, Divinio n'avait plus besoin de rien, ni de personne. Tout allait très bien. Le monde pouvait s'écrouler et le poète pouvait enfin mourir sereinement. Quoique avant que cela n'arrive, il restait encore une chose qu'il souhaitait faire. Une dernière chose : écrire un dernier poème avant de s'éteindre.
"On boira du lait le jour où les vaches mangeront du houblon"
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Les allées et venus d’Ertuen commençaient à me fatiguer longuement et surtout la présence de certaines personnes me faisait me sentir mal. Je n’arrivais plus a tenir en place et surtout j’avais besoin de me sentir prêt de lui, même si son âme n’était plus .
Il était temps pour moi de mettre mon plan a exécution et de quitter ses sinistres terres. Qu’importe la fin de la solution de l’énigme, mon sort était scellée et je ne voulais pas que ce soit quelqu’un d’autre qui décide pour moi. Je pris donc le chemin le plus court jusqu’a la stèle de mon bien aimée.
« Bonjour mon ange gardien, cela fait des jours que je ne suis pas venue, mais j’observais longuement la populace présente dans les terres saintes d’Ertuen . Le message des dieux que j’ai reçu il y a peu un jour où je me suis endormi ici, a été déchiffré. Des artefacts d’une splendeur et d’une manufacture étrangère ont fait leurs apparitions ainsi que des créatures d’un autre temps. L’apocalypse est proche tu sais, et c’est aujourd’hui que je décide de mettre fin à mes jours, je n’ai pas envie de leur donner le luxe de me faucher l’âme »
Je m’étais assise à même le sol, et je commençais à vider mes poches, des objets qui seront utile à mon suicide. Une dague, une fiole de catalyseur, et ma lettre d’adieu, rédigé il y a déjà pas mal de temps.
« Je sais que ce que je vais faire ne te plais absolument pas, mais je n’ai pas le choix Juillet. J’ai mis Kencos en sécurité, il a quitté cette ile de malheur il y a deux semaines, il a commencé son voyage initiatique… Je lui ai inculqué tout ce que je pouvais, et je suis sure qu’il réussira dans la voix qu’il choisira. Maintenant à moi de choisir mon destin, et je veux te rejoindre, parce que je sais que c’est la meilleur chose à faire. Accueille-moi de la plus chaleureuse des manières et surtout ne me dit pas que j’ai fait une bêtise. C’est la plus belle preuve d’amour que je peux te donner …
Je t’aime et ce du plus profond de mon âme »
Je commençais à lacérer les boutons et les pans de ma tunique, et je me fis une entaille sur chacun de mes avant –bras. Le sang coulait abondamment sur le sol et sur les pans de ma tunique d’aventurière. Je n’eu même pas le temps de m’injecter du catalyseur que je fus transporté dans une espèce de monde parallèle.
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La lune rouge surplombait ce palais majestueux. On voyait l’ensemble de la tedehéssie sous un autre jour. Tel le piédestal d’un dieu qui scrutait ce monde qui fourmille a chaque seconde de temps qui passe.
Les bois des rebelles, la baronnie du Nord chère a mon cœur, la Tradirie. Sous cette angle cette terre paraissait magnifique, belle et surtout sereine. Alors qu’a l’intérieur il en était tout autre .
Je ne pouvais continuer à scruter les alentours plus longtemps, les douleurs étaient fulgurantes dans mes avants bras. Mais le saignement s’atténuait, je n’avais pas fait une entaille aussi profonde qu’espéré. La lacération était plus comme une brulure, comme la brulure de ma cicatrice.
De plus je n’étais pas seul dans cet endroit mystérieux. Vampire, Nain, elfe, humain. Je reconnaissais certains visages au milieu de toute cette agitation. Kaevann , Xenos, Seleine, Crynus, le régent des paladins , Agendorf , Alexendra.
Je me retenais de hurler de douleur et j’allai panser mes blessures dans un coin. La vue du sang pourrait rendre fou un vampire, donc il fallait que je cache tout cela, et partir explorer ce lieu si pittoresque, si divin.
Il me fallu une petite heure pour que la douleur s’attenu et que je retrouve complètement mes esprits. J’étais à la fois perplexe et énervée. Pourquoi j’avais été transporté ici, pourquoi n’avais-je pas pu en finir définitivement avec cette vie si triste sans Chateausombre . Tant de questions se bousculaient dans ma tête. Et j’avais besoin d’y répondre, parce que normalement j’aurais du rejoindre les cieux , mais je ne pense pas que l’au-delà ressemble à ca .
Je mis un temps infini à me remettre sur mes deux jambes et je commençais mon exploration. L’édifice état vraiment splendide, les colonnes de ce palais était bien construites, mais ce lieu était quand même pas mal énigmatique. Comme si c’était le début de la fin. Le lieu où le temps s’arrête et celui de la mort arrive.
Chacun de mes pas résonnaient comme dans une coquille vide, alors que nous étions nombreux aux alentours. Quelques chose m’intrigua fortement, de nombreuses personnes étaient entrain de faire des révérences et des genoux en terre a quelques mettre de moi. Pourquoi tant de courbettes dans ce lieu si inconnu.
J’arrivais enfin dans cette salle et je vis quatre être, sans doute les quatre divinités de ses terres. Nous étions donc dans le palais des dieux, et ce n’était sans doute pas pour des villégiatures tout confort.
Je contemplais celle que je considérais comme Sorad et j’avais envie de la maudire pour mon enfance mon destin et surtout mon isolement sur ses terres. Pourquoi m’avait t’elle choisi un destin si triste et surtout des épreuves si rudes. J’avais tellement de reproches à lui faire, mais c’était inutile, notre fin était déjà scellée et il était inutile de la fustiger plus.
Une deuxième divinité m’inspira une contemplation un peu plus longue. Iridius . Le protecteur de mon paladin. Ce dernier n’avait pas été clément avec lui, et surtout depuis sa plus tendre enfance. Et de plus il ne l’avait pas protégé de ce guet apens. Je le maudissais également, car a cause de lui j’étais une jeune veuve et surtout très isolée. Mais c’était le même constat que pour Sorad. On ne pouvait pas venir se plaindre. Se trouver ici dans leurs demeure cela voulais dire que la fin est imminente et que je pourrais enfin rejoindre les cieux et devenir une étoile pour veiller sur Kencos .
Les réactions des autres protagonistes autour de moi étaient à la fois drôle, fanatique, pathétique, et idéologique. Chacun avait une relation particulière avec son dieu, et voir leurs derniers actes scellés dans ce palais était assez émouvant.
Les allées et venues dans la chambre des dieux était telle une procession, un mariage où une grande cérémonie, chacun venait y trouver son absolution, et ensuite il ressortait le cœur vidé plus léger et de manière sereine.
J’avais beau essayer de faire un pas, je n’arrivais pas a approcher de plus près les quatre, surtout que je les maudissais pour mon destin. Les larmes perlaient sur mon visage tellement ma haine était entrain de bouillir au fond de mon corps.
Maintenant il ne restait plus qu’une chose à faire, attendre, que ses derniers décident pour nous vu que c’est eux qui avait les dernières cartes en main.
Je laissais tomber mes bras lacérés le long de mon corps , en attendant la suite des sombres événements .
Il était temps pour moi de mettre mon plan a exécution et de quitter ses sinistres terres. Qu’importe la fin de la solution de l’énigme, mon sort était scellée et je ne voulais pas que ce soit quelqu’un d’autre qui décide pour moi. Je pris donc le chemin le plus court jusqu’a la stèle de mon bien aimée.
« Bonjour mon ange gardien, cela fait des jours que je ne suis pas venue, mais j’observais longuement la populace présente dans les terres saintes d’Ertuen . Le message des dieux que j’ai reçu il y a peu un jour où je me suis endormi ici, a été déchiffré. Des artefacts d’une splendeur et d’une manufacture étrangère ont fait leurs apparitions ainsi que des créatures d’un autre temps. L’apocalypse est proche tu sais, et c’est aujourd’hui que je décide de mettre fin à mes jours, je n’ai pas envie de leur donner le luxe de me faucher l’âme »
Je m’étais assise à même le sol, et je commençais à vider mes poches, des objets qui seront utile à mon suicide. Une dague, une fiole de catalyseur, et ma lettre d’adieu, rédigé il y a déjà pas mal de temps.
« Je sais que ce que je vais faire ne te plais absolument pas, mais je n’ai pas le choix Juillet. J’ai mis Kencos en sécurité, il a quitté cette ile de malheur il y a deux semaines, il a commencé son voyage initiatique… Je lui ai inculqué tout ce que je pouvais, et je suis sure qu’il réussira dans la voix qu’il choisira. Maintenant à moi de choisir mon destin, et je veux te rejoindre, parce que je sais que c’est la meilleur chose à faire. Accueille-moi de la plus chaleureuse des manières et surtout ne me dit pas que j’ai fait une bêtise. C’est la plus belle preuve d’amour que je peux te donner …
Je t’aime et ce du plus profond de mon âme »
Je commençais à lacérer les boutons et les pans de ma tunique, et je me fis une entaille sur chacun de mes avant –bras. Le sang coulait abondamment sur le sol et sur les pans de ma tunique d’aventurière. Je n’eu même pas le temps de m’injecter du catalyseur que je fus transporté dans une espèce de monde parallèle.
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La lune rouge surplombait ce palais majestueux. On voyait l’ensemble de la tedehéssie sous un autre jour. Tel le piédestal d’un dieu qui scrutait ce monde qui fourmille a chaque seconde de temps qui passe.
Les bois des rebelles, la baronnie du Nord chère a mon cœur, la Tradirie. Sous cette angle cette terre paraissait magnifique, belle et surtout sereine. Alors qu’a l’intérieur il en était tout autre .
Je ne pouvais continuer à scruter les alentours plus longtemps, les douleurs étaient fulgurantes dans mes avants bras. Mais le saignement s’atténuait, je n’avais pas fait une entaille aussi profonde qu’espéré. La lacération était plus comme une brulure, comme la brulure de ma cicatrice.
De plus je n’étais pas seul dans cet endroit mystérieux. Vampire, Nain, elfe, humain. Je reconnaissais certains visages au milieu de toute cette agitation. Kaevann , Xenos, Seleine, Crynus, le régent des paladins , Agendorf , Alexendra.
Je me retenais de hurler de douleur et j’allai panser mes blessures dans un coin. La vue du sang pourrait rendre fou un vampire, donc il fallait que je cache tout cela, et partir explorer ce lieu si pittoresque, si divin.
Il me fallu une petite heure pour que la douleur s’attenu et que je retrouve complètement mes esprits. J’étais à la fois perplexe et énervée. Pourquoi j’avais été transporté ici, pourquoi n’avais-je pas pu en finir définitivement avec cette vie si triste sans Chateausombre . Tant de questions se bousculaient dans ma tête. Et j’avais besoin d’y répondre, parce que normalement j’aurais du rejoindre les cieux , mais je ne pense pas que l’au-delà ressemble à ca .
Je mis un temps infini à me remettre sur mes deux jambes et je commençais mon exploration. L’édifice état vraiment splendide, les colonnes de ce palais était bien construites, mais ce lieu était quand même pas mal énigmatique. Comme si c’était le début de la fin. Le lieu où le temps s’arrête et celui de la mort arrive.
Chacun de mes pas résonnaient comme dans une coquille vide, alors que nous étions nombreux aux alentours. Quelques chose m’intrigua fortement, de nombreuses personnes étaient entrain de faire des révérences et des genoux en terre a quelques mettre de moi. Pourquoi tant de courbettes dans ce lieu si inconnu.
J’arrivais enfin dans cette salle et je vis quatre être, sans doute les quatre divinités de ses terres. Nous étions donc dans le palais des dieux, et ce n’était sans doute pas pour des villégiatures tout confort.
Je contemplais celle que je considérais comme Sorad et j’avais envie de la maudire pour mon enfance mon destin et surtout mon isolement sur ses terres. Pourquoi m’avait t’elle choisi un destin si triste et surtout des épreuves si rudes. J’avais tellement de reproches à lui faire, mais c’était inutile, notre fin était déjà scellée et il était inutile de la fustiger plus.
Une deuxième divinité m’inspira une contemplation un peu plus longue. Iridius . Le protecteur de mon paladin. Ce dernier n’avait pas été clément avec lui, et surtout depuis sa plus tendre enfance. Et de plus il ne l’avait pas protégé de ce guet apens. Je le maudissais également, car a cause de lui j’étais une jeune veuve et surtout très isolée. Mais c’était le même constat que pour Sorad. On ne pouvait pas venir se plaindre. Se trouver ici dans leurs demeure cela voulais dire que la fin est imminente et que je pourrais enfin rejoindre les cieux et devenir une étoile pour veiller sur Kencos .
Les réactions des autres protagonistes autour de moi étaient à la fois drôle, fanatique, pathétique, et idéologique. Chacun avait une relation particulière avec son dieu, et voir leurs derniers actes scellés dans ce palais était assez émouvant.
Les allées et venues dans la chambre des dieux était telle une procession, un mariage où une grande cérémonie, chacun venait y trouver son absolution, et ensuite il ressortait le cœur vidé plus léger et de manière sereine.
J’avais beau essayer de faire un pas, je n’arrivais pas a approcher de plus près les quatre, surtout que je les maudissais pour mon destin. Les larmes perlaient sur mon visage tellement ma haine était entrain de bouillir au fond de mon corps.
Maintenant il ne restait plus qu’une chose à faire, attendre, que ses derniers décident pour nous vu que c’est eux qui avait les dernières cartes en main.
Je laissais tomber mes bras lacérés le long de mon corps , en attendant la suite des sombres événements .
La pire des perversions n'est rien par rapport aux sévices que peut infliger une Chamane.
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
Re: [RP] L'avenir est entre nos mains !
Crynus était à la limite du sommeil lorsque le rituel put commencer. Les trajets pour rejoindre son roi, puis pour revenir au temple en passant par la cité paladine avaient mis à mal son endurance, il avait forcé l'allure, craignant manquer l'événement.
Il fut cependant incapable de suivre la totalité du rituel, s'étant effondré contre le mur par la fatigue et ne put en conséquence vivre le "voyage". Il se réveilla dans un décors totalement différent de celui du temple, et regardait autour de lui pour s'efforcer d'analyser au mieux le lieu et la situation. C'était gigantesque ! Et tellement beau. Si les différents palais en Tédéhessie rivalisaient en matière d'architecture, cet endroit leurs était très clairement supérieur en tout point. Comme si.... Comme si ce ne pouvait être l'oeuvre d'un mortel (ou d'un vampire), mais plutôt d'une entité qui ne pouvait que leurs être supérieur. Ce ne pouvait être que la demeure des Dieux. Il n'y avait pas d'autres explications possibles !
Le jeune homme fut pris d'une peur qu'il ne pouvait que difficilement maîtriser. Bien que n'étant pas un modèle de croyance ou de piété, il s'était toujours efforcé de respecter les Dieux. Un seul pouvait prétendre recevoir ses rares prières : on l'appelait Paladine dans son pays d'origine, il semblait répondre au nom d'Iridius à son nouveau foyer. Il semblait préférer sa seconde dénomination, puisque l'ensemble des peuples de Tédéhessie avait été convié dans cet immense palais. Il fallait reconnaître qu'il en tirait un certain soulagement.
Le paladin commença à visiter cette salle où ils avaient pu atterrir, ce lieu se révélait de plus en plus surprenant à chaque nouveau pas. Il y régnait une magie qu'il ne trouverait nulle part ailleurs. Les premières difficultés se manifestèrent, certains semblait désorientés ou perdus. Il lui fallut rejoindre son amante au plus vite, s'efforçant de calmer au mieux la jeune femme, chose peu aisée lorsque l'on manque de confiance.
Il lui fallait un socle plus stable, un repère, pour mieux se retrouver sans cet endroit. Il repéra dans un coin son Roi ainsi que Lazare en pleine discussion. Oui, ce serait un bon début pour s'y retrouver.
Les premières portes s'ouvrèrent et les Dieux apparurent. Ils commencèrent à s'adresser à certains élus.
Crynus ne savait pas vraiment quoi faire. Il valait mieux faire preuve aux Dieux du respect qui leurs était dû. Il mit un genou à terre, le poing droit sur le cœur devant son dieu.
Il fut cependant incapable de suivre la totalité du rituel, s'étant effondré contre le mur par la fatigue et ne put en conséquence vivre le "voyage". Il se réveilla dans un décors totalement différent de celui du temple, et regardait autour de lui pour s'efforcer d'analyser au mieux le lieu et la situation. C'était gigantesque ! Et tellement beau. Si les différents palais en Tédéhessie rivalisaient en matière d'architecture, cet endroit leurs était très clairement supérieur en tout point. Comme si.... Comme si ce ne pouvait être l'oeuvre d'un mortel (ou d'un vampire), mais plutôt d'une entité qui ne pouvait que leurs être supérieur. Ce ne pouvait être que la demeure des Dieux. Il n'y avait pas d'autres explications possibles !
Le jeune homme fut pris d'une peur qu'il ne pouvait que difficilement maîtriser. Bien que n'étant pas un modèle de croyance ou de piété, il s'était toujours efforcé de respecter les Dieux. Un seul pouvait prétendre recevoir ses rares prières : on l'appelait Paladine dans son pays d'origine, il semblait répondre au nom d'Iridius à son nouveau foyer. Il semblait préférer sa seconde dénomination, puisque l'ensemble des peuples de Tédéhessie avait été convié dans cet immense palais. Il fallait reconnaître qu'il en tirait un certain soulagement.
Le paladin commença à visiter cette salle où ils avaient pu atterrir, ce lieu se révélait de plus en plus surprenant à chaque nouveau pas. Il y régnait une magie qu'il ne trouverait nulle part ailleurs. Les premières difficultés se manifestèrent, certains semblait désorientés ou perdus. Il lui fallut rejoindre son amante au plus vite, s'efforçant de calmer au mieux la jeune femme, chose peu aisée lorsque l'on manque de confiance.
Il lui fallait un socle plus stable, un repère, pour mieux se retrouver sans cet endroit. Il repéra dans un coin son Roi ainsi que Lazare en pleine discussion. Oui, ce serait un bon début pour s'y retrouver.
Les premières portes s'ouvrèrent et les Dieux apparurent. Ils commencèrent à s'adresser à certains élus.
Crynus ne savait pas vraiment quoi faire. Il valait mieux faire preuve aux Dieux du respect qui leurs était dû. Il mit un genou à terre, le poing droit sur le cœur devant son dieu.