l'Anneau du Grand Berserk

Région comprenant entre autre Urpis et Ertuën, région centrale où se retrouve les habitant de toute l'île.
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Lolth
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l'Anneau du Grand Berserk

Message par Lolth »

Pots précédant (c'est le 7ème post du topic)

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[HRP]pensées[/HRP]
[HRP] Suggestion musicale [/HRP]
Lolth sort de la taverne et passe deux carrefour de la démarche sautillé de ceux qui ont la vessie trop pleine.,puis il pénètre dans une petite ruelle sombre qui s’avère être une impasse.
Il s’approche du mur en torchis qui clos l’impasse et soulage sa vessie.
Ce besoin satisfait il commence à remonter son pantalon lorsqu’une porte de la ruelle s’ouvre en grinçant.
Un homme à la face rougie par l’alcool visiblement le propriétaire du taudis qu’il venait d’arroser copieusement,sort dans la rue et couvre d’injure le vampire un peu surpris qui finissait tant bien que mal de reboutonner son pantalon.
Puis visiblement déconcerté par le mutisme de son interlocuteur ou désireux de retrouver sa bibine il rentre chez lui en claquant la porte non sans un dernier juron.

Un peu énervé par cet intermède pacifique et à la littérature particulièrement imagée Lolth décide d’oublier l’évènement et d’aller retrouver ses amis à la taverne.
Et en passant devant la porte il lui semble entrevoir un éclat d’un bleu métallique par terre.

Intrigué  il s’approche et aperçoit une bague un peu sale mais de magnifique facture, et sertie de saphir.
Visiblement le propriétaire de la maison qu’il avait humidifié l’avait laissé tombé de sa poche.
Lolth la ramasse et s'apprête a toquer à la porte  pour la lui rendre mais finalement il décide  de suspendre son geste et la met dans sa poche en représailles de l’accueil chaleureux de son précédant propriétaire.

Se rendant compte de son état de fatigue, d'énervement et de lassitude, il décide d’aller faire une balade à l’extérieur d’urpis affin de se détendre un peu durant ce qu’il restait de la nuit avant de rejoindre ses compagnons.
Un pensée parasite lui accapara l’esprit l’espace d’un instant:
Pendant que j’y pense il faudrait que je leur  que je leur envoie un corbeau pour les prévenir .

Oh et puis merde!
Il n’avait aucune envie de sortir son nécessaire pour écrire au beau milieu d’une ruelle pourrie d’urpis.
En plus a cause des nuages qui voilait la lune ont n’y voyait pas grand chose.
Le message attendrait demain.

Résolu à passer une nuit à la belle étoile Lolth sortit d’Urpis par la porte nord.
Au bout d’un demi heure de marche il trouve un endroit approprié pour faire son bivouac dans un petit bosquets de frênes et d'érables au nord de la plaine rocailleuse.
Il s’enroule dans sa cape détendu par la fraîcheur de l’aire nocturne et s’endort comme une masse.

Il se réveille le lendemain matin le visage humide de rosée et plein de courbatures.
Le conscience encore embrumé par la mauvaise nuit qu’il venait de passer.
Une nuit pleine de rêves bizarres torturés comme ceux que l’on fait sous l’emprise de la fièvre.
Et puis il avait mal au bras droit songeât-il en se retournant dans le demi sommeil qui précède le lever.
Il avait le bras crispé mais c’était de la paume de provenait la douleur comme si il s’était appuyé sur un cailloux durant toute la nuit.

Il ouvrit le point et la bague en tomba.
Il avait gardé toute la nuit dans son poing serré sa nouvelle bague qu’il avait trouvé hier soir.

Il s'empressât de la ramassé  conscient qu’il valait mieux qu’il prenne soin d’un objet d’une telle valeur.
Il s’assit et l'examina à la lueur du soleil.
De jour elle était encore plus belle que la nuit.
La lumière de l’astre diurne loin de nuire a la beauté du bijou le mettait en valeur dans ses moindre détails.
Elle était superbe.
Un magnifique saphir d’un bleu profond comme celui de l’océan accompagné d’une dizaine de saphirs plus petits mais d’un bleu plus clair proche de la couleur de l’eau de jouvence qui jaillissait du mont espérance//étaient enchâssé dans un anneaux en argent torsadé.
Une autre spire de l’anneau était faites d’un métal proche de l’acier au reflets bleuté..
Du mithril !
Cette bague devait valoir une fortune pensa-t-il en la passant a l'index droit.
[HRP] Suggestion musicale [/HRP]
Elle lui allait parfaitement bien qu’il ai l’impression qu’elle lui enserrait un peu le doigt.

En tout cas il avait beau avoir mal dormi il avait de l’énergie a revendre ce ce matin.
Il rangea donc son bivouac,dispersa les cendres ainsi que les charbons qui restait du feu de la vaille et quitta le petit bosquets ou il avait passé la nuit.

Puis il reprit sa route
Il arriva dans la plaine Et vit Shamolem une charmante elfe qu'il avait déjà croisé au part avant.
Elle était en train de dépecer un bework fraichement tué.
Il décida donc naturellement d'aller la saluer et prendre de ses nouvelles.


A deux mètres de sa cible il sortit son arme qui chantât en sortant de son fourreau dans la lueur éclatante du midi.

Tout était extrêmement clair, il percevait cet instant d'une façon indescriptible.
Il voyait tout les détails de la scène.
Il sentait la caresse du vent chauds sur son corps, l'odeur de l'herbe sèche et celle du gravier sec qui précède l'orage..
Il percevait les couleurs avec une intensité incroyable, il voyait avec délectation la beauté de l'efle, le rouge vif du sang du bework sur l'herbe, le bleu du ciel et le gris sombres des nuages à l'horizon...
Il était envahit par l'odeur du sang, les couleurs de la furie et la chaleur de l'orage.

A chaque pulsation son cœur semblait cogner de plus en plus fort et de plus en plus lentement;
Boom


Boom

Il était tendu à comme l'était l'arc à l'instant qui précède celui où l'archer lâche sa flèche.


Boom...
Tellement tendu qu'il craignait de se briser





BOOM
Son être était tendu à tout rompre.
Sa volonté était engagée dans un bras de fer avec une pulsion à la limite de la folie.
Chacun de ses muscles était crispé à la limite de la crampe, sa respiration se faisait de plus en plus intense et saccadée.

Il avait envie.....
Il avait besoin de tuer.
Il lui fallait à n'importe quel prix un instant de repos.
Chaque vie qui s'éteindrait sous sa main serait un instant de répit dans la lute face à son tourment.
Il en avait la certitude !
Cela lui permettrait de se dégager un instant de la pression qui menaçait de de tétaniser chacun de ses muscles y compris son cœur qui commençait à sa faire atrocement douloureux a chaque battement supplémentaire.

Il avait l'impression qu'un était lui broyait la tête.
Il lui fallait respirer

Mais putain Lolth arrête de parler et agit bordel !
Comporte toi en homme !!!


Tout était clair: si il pouvait tuer cette putain d'elfe, il pourrait enfin l'espace d'un instant souffler un peu.





BOOOOM

Soudain quelque chose cédât au fin fond de sa conscience et Lolth sentit tout à coup le plaisir du renoncement à la lutte l'envahir et la satisfaction de faire ce dont-il avait toujours eu envie l'envahir.


L'elfe qui s'attendait à un salut amical prit trois coup de sabre en guise de salutation.
Le premier coup lui tranchât le biceps jusqu’à l'os lui ouvrant l'artère du bras, le deuxième juste au dessus du genoux lui sectionnât les ligaments qui commandent la cuisse, visait la carotide mais grâce à un réflexe impressionnant l'elfe l'esquiva et la frappe qui devait lui être fatale ne lui fit qu'une zébrure dans le cuir chevelu.

Lolth leva alors son sabre pour terminer ce qu'il avait si bien commencé.
De toute façon vu comment elle était amochée c'était de la cruauté que de la laisser dans cet état.

Il leva son sabre.
Et au moment de le lui donner le coup qui allait lui ôter la vie il regarda l'elfe dans les yeux.
Et malgré toute la fureur qu'il portait en lui il fut incapable de la tuer.

Il l’assomma alors avec le pommeau de son épée.
Dernière modification par Lolth le 24 octobre 2013, 11:19, modifié 10 fois.
:flamina: "Connaissez vous et vous connaitrez votre Ennemi" :flamina:
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Message par Lolth »

[HRP]Suggestion musicale[/HRP]
Il courut alors vers le nord jusqu’à ce que ses jambes ne puissent plus le porter et que ses poumons lui donnent l'impression d'être en feu.
Puis il s’arrêtât au pied des ruines de l'ancienne place forte Paladine.
Là il entrât dans un souterrain.

Et de désespoir et de fureur mêlée il arrachât la bague de son doigt et la jeta aussi loin qu'il put.
L'écho de sa chute résonnât comme un rire moqueur contre le mur qui clôturait de bout du couloir dallé où Lolth s'était assis.

Au bout de plusieurs minutes dans le noir à tenter de faire le vide il sortit de sa besace son briquet et un bout de chandelle qu'il allumat et posat par terre.
Il avait mal au doigt en allumant son briquet.
Il regardât son index droit à la lueur vacillante de la chandelle qu'il venait d'allumer.
Cinq filet de sang coulait de cinq point, où des pointes s'était enfoncées profondément,tous disposé à intervalle régulier autour de son index.

Il leva alors sa chandelle pour regarder la bague mais sans la toucher cette fois.

Contrairement à ce qu'il avait crut ,l'anneau n'était pas composé de deux spires torsadée mais de trois.
La troisième qu'il n'avait pas vu jusque là était transparente car elle était faite en verre.
Et à l'intérieur de cette troisième spire s'écoulait un fluide rouge sombre, épais un peu comme du sang.

Il fût alors saisit par un frisson de peur et de dégout mêlés.

Ce n'était pas le seul changement qui subissait la bague car petit à petit les saphir se coloraient de pourpre.
Sous son aspect innocent l'anneau laissait enfin apercevoir sa véritable nature.

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Et pendant qu'il scrutait l'anneau, la conscience de cet anneau buveur de sang, qui possédait ses porteurs avec son esprit de haine et de destruction, lui remplissait petit à petit l'esprit de colère et de rage.

Lolth ne savait plus ce qui le mettait le plus en colère:son incapacité à exercer la maitrise de soi ou la nature profondément maléfique perverse de l'anneau.


Au fur et à mesure qu'il le regardait une envie de se défouler , de se changer les idée le reprenait.
Il sentait que si il retournait dehors pour tuer quelqu'un il pourrait oublier ne serait-ce qu'un instant son crime précédant.
Il pourrait enfin se vider la tête, penser à autre chose.
Il pourrait...
STOP !!!

Lolth éteignit la chandelle conscient de l'attraction que l'anneau exerçait sur lui.
Que pourrait-il faire de ce foutu anneau ?

Il l’emmènerai bien à Camus pour qu'il l'examine...
Mais le vrai problème n'était pas quoi faire mais comment.
Comment pourrait-il amener l'anneau jusqu’à Camus sans le toucher ?
Il avait l'intime conviction que si il s'approchait de l'anneau à moins d'un pas la rage meurtrière reprendrais le dessus.

Il fallait qu'il trouve un autre solution !


Il restât plusieurs heures durant à faire un duel de volonté luttant de toute ses forces contre l'envie de passer l'anneau à son doigt, rageant contre sa faiblesse et contre le jeu cruel du destin qui lui avait offert l'espoir de la rédemption pour le corrompre encore plus.
Pleurant en silence sur son incapacité à rester pur dans son cœur et son âme.
Dernière modification par Lolth le 24 octobre 2013, 10:18, modifié 1 fois.
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Re: l'Anneau du Grand Berserk

Message par Lolth »

[HRP]Suggestion musicale[/HRP]
Au bout de plusieurs heure le sommeil vint tel un voleur et Lolth sombrât dans une inconscience nocturne à la limite du délire.
Ce fut un sommeil moite, torturé, angoissant dont il se réveillât l'anneau passé au doigt.

Le vice de l'anneau allait jusqu’à attendre son réveil pour qu'il prenne conscience que c'était lui même conscient ou inconscient qui avait mit l'anneau à son doigt, c'était seul qu'il avait choisit de porter sa chaîne d'esclavage au maillon unique.

La rage le submergeât alors.
Une rage perverse qui loin de posséder son sujet au point de lui faire perdre conscience de ses actes , laissait le sujet possédé spectateur de ses propres horreurs, avec tout les détails suffisant pour que chacun des actes commis reste gravés au plus profond de sa mémoire.

Lolth sortit en furie des ruines de l'ancienne forteresse.

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Il croisât un couple de quinquagénaire, des paysans Tradiriens à en juger par leur habits, qui faisait une balade au coucher du soleil.
Il leur brisât les jambes puis les éventrât en plein milieu des champs de blés.
Bien conscient que leur agonie serait longue et douloureuse.

Il se dirigeât ensuite, à la lueur de Fibus, vers sa proie, son échec.
Cette victime laissée en liberté.
Il la vit à l'ombre d'un arbre en train de soigner ses blessures
De peur elle lançat plusieurs sort mineurs qui en causèrent à Lolth que des bosses quelques bleus et une vilaine cupure sur le bras guauche.

Parvenu jusqu'à elle il allait enfin pouvoir rectifier son erreure.
Il savourait déja la detresse qu'il lisait dans son regard.

Non
Rêvait-il ?
Il avait cru voir l'espace d'un instant une lueure d'espoir dans son reguard.

Il n'eut pas le temps d'en savoir plus.
Un poing jaillit de terre et lui broyat la cage thorassique.inspiration ses poumons s'emplissait un peu plus de sang et sa vie le quittait un peu plus.
Il sentit la vie le quitter , ses sens s'affadir, le gout cuivré du sang remplir sa bouche, sa vue se voiler.
Et il mourrut face au lever du soleil rouge sang reconaissant enver l'être généreux qui l'avait libéré de sa malédiction.
Dernière modification par Lolth le 24 octobre 2013, 10:09, modifié 3 fois.
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Re: l'Anneau du Grand Berserk

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