Les équipes étaient prêtes, les haches aiguisés, les épées sorties de leurs fourreaux. Il y a avait beaucoup moins de joueurs que l’an dernier, mais bizarrement beaucoup plus de spectateurs étaient venus aux abords de la ville D’Urpis, surtout au cimetière où l’équipe Or, l’équipe gagnante de l’an dernier revenue remettre en jeu son titre, débute le tournoi.
La ville étaient en fête, les échoppes fonctionnaient à plein régimes, l’économie de la ville était relancée pour un temps. Le maire d’Urpis avant demandé l’autorisation à Wayard de relancer ce tournoi pour les prochaines années, il pensait que ce tournoi pouvait engendrer beaucoup d’argent pour la ville. Le seigneur noir qui se désintéressait totalement de la vie et de la politique avait revendu les droits du tournoi pour quelques bibelots.
Qui allait remporter ce tournoi cette année ? l'équipe de Delperio, de Divinio ou bien les outsiders l'équipe d'Agendorf ou d'alexandra ?
Tournoi de cristal - Le champ de bataille
Re: Tournoi de cristal - Le champ de bataille
J'avais décidé de participer au tournoi dans le but de tester mes talents, enfin les bases de ce que j'avais appris pour pouvoir savoir où j'en étais dans mon apprentissage de l'art de guerroyer. Les équipes furent données tandis que je buvais un verre de jus de carise à la taverne d'Urpis. J'avais été mise dans un trio, composé de deux bons combattants, l'un vampire, l'autre Rebelle. Borric le barde, et Alucard, ami du Faucheur à ce que j'avais compris. D'ailleurs en parlant de lui, il avait décidé de faire partie des concurrents, ainsi qu'un Rebelle à la force herculéenne, un certain Zokko. En voyant le niveau des autres, j'avais peine à savoir ce que je faisais vraiment au milieu de tous ces monstres...
Crynus était également de la partie. Je ne le vis pas à Urpis, ni même croisé lors des positionnements de départ, mais je savais qu'il était là. J'espérais ardemment pouvoir me mesurer à lui en face à face, mais n'en dis rien à mes coéquipiers, plus concentrés sur une attitude d'attente et défensive.
Nous étions l'équipe Noire, postée à la Banque d'Ertuen, au Nord-Ouest d'Urpis. Le banquier n'avait pas l'air enjoué en nous voyant arriver, sans doute était-ce l'idée d'un potentiel combat dans son établissement qui le rebutait le plus. Il nous ouvrit sans mot dire, et se dirigea dans une pièce isolée, pour ne pas risquer de prendre un coup perdu.
Nous attendions, inertes, des heures durant, même après que le tournoi fut annoncé comme démarré, nous restions là, derrière la porte, à attendre une occasion de fondre sur un potentiel adversaire.
Pas de chance, notre attente ne fut pas bénéfique, car il est possible à certaines personnes de pister ceux qu'ils recherchent, et ils finissent forcément par atteindre leur cachette. Borric tomba le premier, puis Landvattir, un nain un peu trop ambitieux. Alucard était sortit, fuyant à toute vitesse devant son ami et mentor, la grande Faucheuse. Evidemment il fallait qu'on tombe sur lui en premier. Je suivis le pas, profitant de l'inattention du Faucheur, et partis en direction des champs Tradiriens, seule véritable région que je connaissais.
Je finis vite par perdre Alucard, non pas qu'il fut tué, mais qu'il m'avait tout simplement abandonnée. Je ne savais pas s'il vivait toujours, s'il se cachait, s'il se battait, et je n'avais pas la moindre nouvelle. Je décidais donc de rester calme et me déplaçais dans les champs, sans trop rester au même endroit, pour éviter le pistage trop précis des ennemis.
Ce fut finalement mon maître d'arme qui me débusqua, ne me laissant pas le temps de riposter ou même de crier. Je me retrouvais dans le monde des morts sans avoir remarqué qu'il m'avait trouvée, seul un bout de tissus blanc était accroché à ma ceinture, tissu ressemblant étonnamment à celui qu'il m'avait confié avant mon enlèvement. Cela faisait partie du jeu, j'avais été négligente, et je le remerciais silencieusement de m'avoir donné une nouvelle leçon.
Crynus était également de la partie. Je ne le vis pas à Urpis, ni même croisé lors des positionnements de départ, mais je savais qu'il était là. J'espérais ardemment pouvoir me mesurer à lui en face à face, mais n'en dis rien à mes coéquipiers, plus concentrés sur une attitude d'attente et défensive.
Nous étions l'équipe Noire, postée à la Banque d'Ertuen, au Nord-Ouest d'Urpis. Le banquier n'avait pas l'air enjoué en nous voyant arriver, sans doute était-ce l'idée d'un potentiel combat dans son établissement qui le rebutait le plus. Il nous ouvrit sans mot dire, et se dirigea dans une pièce isolée, pour ne pas risquer de prendre un coup perdu.
Nous attendions, inertes, des heures durant, même après que le tournoi fut annoncé comme démarré, nous restions là, derrière la porte, à attendre une occasion de fondre sur un potentiel adversaire.
Pas de chance, notre attente ne fut pas bénéfique, car il est possible à certaines personnes de pister ceux qu'ils recherchent, et ils finissent forcément par atteindre leur cachette. Borric tomba le premier, puis Landvattir, un nain un peu trop ambitieux. Alucard était sortit, fuyant à toute vitesse devant son ami et mentor, la grande Faucheuse. Evidemment il fallait qu'on tombe sur lui en premier. Je suivis le pas, profitant de l'inattention du Faucheur, et partis en direction des champs Tradiriens, seule véritable région que je connaissais.
Je finis vite par perdre Alucard, non pas qu'il fut tué, mais qu'il m'avait tout simplement abandonnée. Je ne savais pas s'il vivait toujours, s'il se cachait, s'il se battait, et je n'avais pas la moindre nouvelle. Je décidais donc de rester calme et me déplaçais dans les champs, sans trop rester au même endroit, pour éviter le pistage trop précis des ennemis.
Ce fut finalement mon maître d'arme qui me débusqua, ne me laissant pas le temps de riposter ou même de crier. Je me retrouvais dans le monde des morts sans avoir remarqué qu'il m'avait trouvée, seul un bout de tissus blanc était accroché à ma ceinture, tissu ressemblant étonnamment à celui qu'il m'avait confié avant mon enlèvement. Cela faisait partie du jeu, j'avais été négligente, et je le remerciais silencieusement de m'avoir donné une nouvelle leçon.
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Re: Tournoi de cristal - Le champ de bataille
Sirotant sa bière à la taverne d'Urpis, Zarakai reçu comme chaque participant une missive envoyée par l'organisateur. Dépliant tant bien que mal le parchemin qu'il voyait double sous l'effet de la boisson, le nain lut quelques mots le sommant de se rendre en territoire paladin pour prendre position en attendant le début du tournoi.
Aussitôt dit aussitôt fait, le roi des montagnes torcha sa chopine cul-sec et se mis donc en marche à la rencontre de l’épouvantail tradirien.
Arrivé sur place, il attendit quelques minutes en fixant la statue de paille et fut heureux de voir ses équipiers inconnus jusque-là arriver ; Zokko le puissant mais néanmoins sympathique rebelle et Agendorf l'emblématique paladin.
Après quelques politesses échangées, l'heure ne fût rapidement plus aux courbettes, un coup de canon se fit entendre sonnant dans toute la Tédéhéssie le début des festivités.
Du haut de son mètre 40, Zarakai lança la proposition d'aller se mettre à l’abri dans les souterrains paladins qui offriraient une bonne protection le temps que toutes les équipes s'étripent entre-elles. L'idée fut accueillie sans opposition et c'est donc en hâte que les verts foncèrent dans les ruines dévastées, vestige d’une ancienne puissante civilisation.
Après des heures d'attentes à chasser le squelette et tourner en rond, des pas se firent entendre dans le couloir menant à la planque des trois zozos. L'équipe verte, arme levée et sueur au front attendit le moment opportun pour frapper. La porte de la salle leur servant de refuge s'ouvrit lentement et Alucard entra, couvert de sang des pieds à la tête et haletant.
Les trois partenaires, abasourdis par cette apparition, se regardèrent les uns les autres d’un œil interrogateur.
Zokko s’approcha alors d’Alucard et ne sentant pas de menace en lui, lui accorda du repos contre quelques informations.
Celui-ci fini après un moment pour reprendre ses esprits, leur expliqua l’attaque surprise de Delpiero, la mort de Borric et sa fuite vers le Nord le temps de trouver un moyen de rendre la monnaie de sa pièce au faucheur.
…
La nuit fût fraiche, et agitée de ronflements, pets et autres bruits suspects se répercutant en écho contre les parois de la grande salle. Mais à son réveil, Zarakai constata la disparition du vampire. Il sorti en silence des ruine et tendit l’oreille à la recherche d’un indice sur les présences environnantes.
Aucun bruit de pas ni de suçotement de dents de vampire contre une carotide mais des bruits de fers qui se croisent attirèrent l’attention du roi.
Sortant de sa cachette, le nabot avança de buisson en buisson jusqu’à une clairière ou un paladin, l’air satisfait soulageait un besoin pressant contre un arbre à quelques mètre d’une femme, paladine elle aussi apparemment, allongés sur le sol l’air profondément endormie et blanche comme une fesse d’elfe albinos après une longue saison hivernale.
Zarakai reconnu Crynus un concurrent. S’approchant en silence, le nain tapota l’épaule de son adversaire et au moment ou celui-ci se retourna, fendit l’air et le jeune paladin en deux avec son épée.
Puis le nain rengaina et retourna vers sa planque le sourire aux lèvres lâchant au passage « et de un ! »
Aussitôt dit aussitôt fait, le roi des montagnes torcha sa chopine cul-sec et se mis donc en marche à la rencontre de l’épouvantail tradirien.
Arrivé sur place, il attendit quelques minutes en fixant la statue de paille et fut heureux de voir ses équipiers inconnus jusque-là arriver ; Zokko le puissant mais néanmoins sympathique rebelle et Agendorf l'emblématique paladin.
Après quelques politesses échangées, l'heure ne fût rapidement plus aux courbettes, un coup de canon se fit entendre sonnant dans toute la Tédéhéssie le début des festivités.
Du haut de son mètre 40, Zarakai lança la proposition d'aller se mettre à l’abri dans les souterrains paladins qui offriraient une bonne protection le temps que toutes les équipes s'étripent entre-elles. L'idée fut accueillie sans opposition et c'est donc en hâte que les verts foncèrent dans les ruines dévastées, vestige d’une ancienne puissante civilisation.
Après des heures d'attentes à chasser le squelette et tourner en rond, des pas se firent entendre dans le couloir menant à la planque des trois zozos. L'équipe verte, arme levée et sueur au front attendit le moment opportun pour frapper. La porte de la salle leur servant de refuge s'ouvrit lentement et Alucard entra, couvert de sang des pieds à la tête et haletant.
Les trois partenaires, abasourdis par cette apparition, se regardèrent les uns les autres d’un œil interrogateur.
Zokko s’approcha alors d’Alucard et ne sentant pas de menace en lui, lui accorda du repos contre quelques informations.
Celui-ci fini après un moment pour reprendre ses esprits, leur expliqua l’attaque surprise de Delpiero, la mort de Borric et sa fuite vers le Nord le temps de trouver un moyen de rendre la monnaie de sa pièce au faucheur.
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La nuit fût fraiche, et agitée de ronflements, pets et autres bruits suspects se répercutant en écho contre les parois de la grande salle. Mais à son réveil, Zarakai constata la disparition du vampire. Il sorti en silence des ruine et tendit l’oreille à la recherche d’un indice sur les présences environnantes.
Aucun bruit de pas ni de suçotement de dents de vampire contre une carotide mais des bruits de fers qui se croisent attirèrent l’attention du roi.
Sortant de sa cachette, le nabot avança de buisson en buisson jusqu’à une clairière ou un paladin, l’air satisfait soulageait un besoin pressant contre un arbre à quelques mètre d’une femme, paladine elle aussi apparemment, allongés sur le sol l’air profondément endormie et blanche comme une fesse d’elfe albinos après une longue saison hivernale.
Zarakai reconnu Crynus un concurrent. S’approchant en silence, le nain tapota l’épaule de son adversaire et au moment ou celui-ci se retourna, fendit l’air et le jeune paladin en deux avec son épée.
Puis le nain rengaina et retourna vers sa planque le sourire aux lèvres lâchant au passage « et de un ! »
Roi sur la Montagne
Re: Tournoi de cristal - Le champ de bataille
Attendant le début du tournois comme la plupart des grand guerrier présent dans Urpis, Agendorf ne savait pas qu'elle allait être ses équipiers et le nom de ses adversaires non plus d'ailleurs. Buvant quelques bière pour tuer le temps, il reçu enfin un message de Wayard, le grand organisateur. Le lisant en diagonal il vit que son rendez-vous de départ se trouvait à la route de l'épouvantail, quel chance en terre paladine, il ne serais pas trop dépaysé. Finissant sa choppe cul sec, il partis tranquillement à son point de rendez-vous tout en lisant le message pour découvrir ses coéquipiers, Zokko et Zarakai, en voila une équipe original, un nain et deux humains qui n'était pas censé faire équipe un jour.
Une fois arrivé, la décision fut prise d'attendre avant d'entrer en guerre contre les autres équipe, ainsi elle serait affaiblie par rapport à la notre. Le groupe se réfugia dans les sous-sols de l'ancienne place forte et de temps à autre, l'un d'entre eux allait vérifier les alentours et prendre des nouvelles de l'avancée du tournois. Les premiers mort furent annoncé, de jeune aventurier qui ne connaissaient pas le goût du sang sur ces terres. Mais même les plus grand tombaient et Alucard nous narra la folie tueuse de Delpiero envers les membres de son équipe et qu'il ne réussi à s'en échapper que par miracle, déterminant qu'une paire de bras supplémentaire pour tuer Delpiero ne serait pas de refus on permit à Alucard de se reposer et panser ses blessures. Une fois remit, il partis dans la nuit sans un merci. Et une nouvelle attente commença, jsuqu'à ce qu'une nouvelle règle nous parviennent, interdiction de se réfugier dans des souterrains ou bâtiment, sortant prudemment nous sommes partis vers Urpis, pour se mêler à la foule et espérer y trouver des concurrent.
Sachant que ma force ne serait pas d'une grande utilité, vu les guerriers qui restait en lice, je pris la décision de me faire éclaireur et ainsi je découvrit Aksyqeamr caché derrière un arbre, guettant le passage des autres équipes, allant me réfugier hors de son champs de vision et avertir mes compagnons de tournois, peu de temps après la sanction tomba et Aksyqeamr ne fut plus des nôtres. Alors que nous cherchions quelque indices de présence dans le sud de l'île une nouvelle missive nous parvint, direction le labyrinthe de Vendrick, tout au nord, afin d'y finir le tournois. Reprenant la direction des terres paladine, nous étions prudent à chaque mouvement suspect dans les herbes, chaque bruissement d'arbre nous mettait sur nos garde. Arrivée à l'entrée du labyrinthe, Zarakai et moi avons décidé d'aller nous réfugier dans les profondeurs du méandre, Zokko étant partis dans une mauvaise direction. A nouveau l'attente fut longue, mais une fois Zokko et Alucard retrouvé il fut décidé de partir à la recherche de Delpiero, nous perdîme Zarakai et lors d'un assault, je décidais de bloquer la porte de sortie de la cachette du faucheur, en deux coups de faux ma position fut rompue et je découvris les reflets violacé du monde du passeur.
Pour moi le tournois était fini, mais on m'offrais une nouvelle chance de réussir ma vie.
Une fois arrivé, la décision fut prise d'attendre avant d'entrer en guerre contre les autres équipe, ainsi elle serait affaiblie par rapport à la notre. Le groupe se réfugia dans les sous-sols de l'ancienne place forte et de temps à autre, l'un d'entre eux allait vérifier les alentours et prendre des nouvelles de l'avancée du tournois. Les premiers mort furent annoncé, de jeune aventurier qui ne connaissaient pas le goût du sang sur ces terres. Mais même les plus grand tombaient et Alucard nous narra la folie tueuse de Delpiero envers les membres de son équipe et qu'il ne réussi à s'en échapper que par miracle, déterminant qu'une paire de bras supplémentaire pour tuer Delpiero ne serait pas de refus on permit à Alucard de se reposer et panser ses blessures. Une fois remit, il partis dans la nuit sans un merci. Et une nouvelle attente commença, jsuqu'à ce qu'une nouvelle règle nous parviennent, interdiction de se réfugier dans des souterrains ou bâtiment, sortant prudemment nous sommes partis vers Urpis, pour se mêler à la foule et espérer y trouver des concurrent.
Sachant que ma force ne serait pas d'une grande utilité, vu les guerriers qui restait en lice, je pris la décision de me faire éclaireur et ainsi je découvrit Aksyqeamr caché derrière un arbre, guettant le passage des autres équipes, allant me réfugier hors de son champs de vision et avertir mes compagnons de tournois, peu de temps après la sanction tomba et Aksyqeamr ne fut plus des nôtres. Alors que nous cherchions quelque indices de présence dans le sud de l'île une nouvelle missive nous parvint, direction le labyrinthe de Vendrick, tout au nord, afin d'y finir le tournois. Reprenant la direction des terres paladine, nous étions prudent à chaque mouvement suspect dans les herbes, chaque bruissement d'arbre nous mettait sur nos garde. Arrivée à l'entrée du labyrinthe, Zarakai et moi avons décidé d'aller nous réfugier dans les profondeurs du méandre, Zokko étant partis dans une mauvaise direction. A nouveau l'attente fut longue, mais une fois Zokko et Alucard retrouvé il fut décidé de partir à la recherche de Delpiero, nous perdîme Zarakai et lors d'un assault, je décidais de bloquer la porte de sortie de la cachette du faucheur, en deux coups de faux ma position fut rompue et je découvris les reflets violacé du monde du passeur.
Pour moi le tournois était fini, mais on m'offrais une nouvelle chance de réussir ma vie.
"Parole" *Pensée*
Je serait la lumière qui percera au delà des ténèbres, l'espoir auquel les peuples libres pourront se raccrocher, le guide des âmes perdues.
Bref je suis de retour.
Je serait la lumière qui percera au delà des ténèbres, l'espoir auquel les peuples libres pourront se raccrocher, le guide des âmes perdues.
Bref je suis de retour.