[Privé] Retrouvailles après la tempête.
Publié : 13 avril 2013, 18:54
Un jour, à Urpis...
Un jeune homme, aux yeux vert et à la chevelure brune mais crasseuse, venait d'arrivé en ville, essayant d'être discret, et de trouver une taverne. Il venait d'être témoin d'une bataille. Il avait vu des paladins attaquer un camp de bandit, et grâce à cela il a pu s'échapper. Il demanda au premier passant qu'il pu voir :
-Bonjour, excusez moi, pourriez-vous m'indiquer l'auberge la plus proche, je cherche un lieu pour dormir...
L'homme, qui n'était pas habitué à-ce qu'on lui parle poliment, eu un peu de mal à répondre, il était déstabilisé. Après plusieurs secondes de pause, il répondit enfin, avec un fort accent de paysan :
-Euh, ouai. Alors, pour trouver la taverne, y a rien de plus simple, vous tournez à gauch' et vous arrivez sur la place d'Urpis, et pis à vot' gauche vous aurez le bazar et pis a vot' droite vous aurez le chemin pour la taverne, continuez touut droit, pis vous verrez un grand bâtiment, l'entrée se trouve sur vot' gauche, vous trouvrez facilement.
-Merci, bonne journée, répondit le jeune homme.
Continuant sa route selon les instructions du paysan alors que le soir tombait, le jouvenceau arriva à la taverne. Elle semblait vide, car il y avait peu de bruit. Il entra, discrètement, et jetta un oeil dans la taverne. Il y avait là deux hommes, d'un âge assez avancé, leurs long cheveux gris tombaient sur leurs épaules, ils avaient tout deux une choppe à la main, peut-être de la bière. Le jeune homme entra, avança et marcha vers le comptoir, où une bonne femme faisait la vaisselle, lavant une choppe. Elle tourna la tête et lui dit, avec un léger sourire :
-Salut, jeune homme, que desirez-vous ? Une p'tit bière ?
-Un sirop de carise, seulement, et une chambre aussi, dit le jeune homme, d'un ton peu sûr.
-Bien sûr, jeune homme.
La tavernière ressentait son anxiété, et décida, pour essayer de le mettre à l'aise, d'engager la conversation :
-Alors, d'où v'nez vous comme ça ? De Tradirie, hein ? Votre accent ressemble beaucoup à ceux du nord.
-Euh, oui je viens du nord. Je viens d'une famille de paysans. Quel chance pour moi, ma mère était une ancienne femme de la petite bourgeoisie de Tradiria, selon elle. Elle m'a donné une éducation de base.
-Vous en avez de la chance ! Bon, sinon, vous voulez pas un p'tit gigot de bewok pour vous remonter ? Vous avez l'air épuisé.
Les deux autres clients était parti, le jeune homme était seul avec la tavernière, il s'était donc légèrement appaisé, car la femme semblait être une femme très amicale. Il reprit alors la parole :
-Je prendrais volontier un gigot, mais je ne suis pas sûr que ma bourse soit assez lourde.
-T'inquiète, je te fais un prix, j'aime aider les gens.
-Je vous remercie beaucoup.
Le jeune homme avait un sourire qui se dessinait, il était heureux que sa nourriture et sa boisson lui reviennent moins cher. Il s'assit alors à une table. La tavernière continua la conversation, elle voulait un peu le connaître car cet homme l'intriguait légèrement :
-Comment vous appelez vous, mon bon ?
-Je m'appelle Aylan.
-Enchanté Aylan ! Dit la tavernière avec un sourire.
-Et vous, comment vous appelez vous ?
-Gertrude !
Alors, la tavernière lui servit son gigot, avec un verre de jus de carise, et Aylan degusta son festin avec un grand plaisir. Cela faisait peut-être un mois qu'il n'avait mangé pareil festin, puis, la fatigue se fit sentir, et le jeune homme alla se coucher.
***
Après une nuit de sommeil agréable, Aylan alla en ville, au bazar, comme l'homme lui avait indiqué la veille. Il ne fit toutefois aucun vrai achat. Mais alors qu'il se promenait, il fit une rencontre surprenante, il revit une personne qu'il n'aurait jamais attendu.
Surpris, il se rapprocha, pour verifier si il ne s'était pas trompé. Il n'en cru pas ses yeux. Il s'approcha et demanda :
-Es-ce bien toi, mon frère ?
Un jeune homme, aux yeux vert et à la chevelure brune mais crasseuse, venait d'arrivé en ville, essayant d'être discret, et de trouver une taverne. Il venait d'être témoin d'une bataille. Il avait vu des paladins attaquer un camp de bandit, et grâce à cela il a pu s'échapper. Il demanda au premier passant qu'il pu voir :
-Bonjour, excusez moi, pourriez-vous m'indiquer l'auberge la plus proche, je cherche un lieu pour dormir...
L'homme, qui n'était pas habitué à-ce qu'on lui parle poliment, eu un peu de mal à répondre, il était déstabilisé. Après plusieurs secondes de pause, il répondit enfin, avec un fort accent de paysan :
-Euh, ouai. Alors, pour trouver la taverne, y a rien de plus simple, vous tournez à gauch' et vous arrivez sur la place d'Urpis, et pis à vot' gauche vous aurez le bazar et pis a vot' droite vous aurez le chemin pour la taverne, continuez touut droit, pis vous verrez un grand bâtiment, l'entrée se trouve sur vot' gauche, vous trouvrez facilement.
-Merci, bonne journée, répondit le jeune homme.
Continuant sa route selon les instructions du paysan alors que le soir tombait, le jouvenceau arriva à la taverne. Elle semblait vide, car il y avait peu de bruit. Il entra, discrètement, et jetta un oeil dans la taverne. Il y avait là deux hommes, d'un âge assez avancé, leurs long cheveux gris tombaient sur leurs épaules, ils avaient tout deux une choppe à la main, peut-être de la bière. Le jeune homme entra, avança et marcha vers le comptoir, où une bonne femme faisait la vaisselle, lavant une choppe. Elle tourna la tête et lui dit, avec un léger sourire :
-Salut, jeune homme, que desirez-vous ? Une p'tit bière ?
-Un sirop de carise, seulement, et une chambre aussi, dit le jeune homme, d'un ton peu sûr.
-Bien sûr, jeune homme.
La tavernière ressentait son anxiété, et décida, pour essayer de le mettre à l'aise, d'engager la conversation :
-Alors, d'où v'nez vous comme ça ? De Tradirie, hein ? Votre accent ressemble beaucoup à ceux du nord.
-Euh, oui je viens du nord. Je viens d'une famille de paysans. Quel chance pour moi, ma mère était une ancienne femme de la petite bourgeoisie de Tradiria, selon elle. Elle m'a donné une éducation de base.
-Vous en avez de la chance ! Bon, sinon, vous voulez pas un p'tit gigot de bewok pour vous remonter ? Vous avez l'air épuisé.
Les deux autres clients était parti, le jeune homme était seul avec la tavernière, il s'était donc légèrement appaisé, car la femme semblait être une femme très amicale. Il reprit alors la parole :
-Je prendrais volontier un gigot, mais je ne suis pas sûr que ma bourse soit assez lourde.
-T'inquiète, je te fais un prix, j'aime aider les gens.
-Je vous remercie beaucoup.
Le jeune homme avait un sourire qui se dessinait, il était heureux que sa nourriture et sa boisson lui reviennent moins cher. Il s'assit alors à une table. La tavernière continua la conversation, elle voulait un peu le connaître car cet homme l'intriguait légèrement :
-Comment vous appelez vous, mon bon ?
-Je m'appelle Aylan.
-Enchanté Aylan ! Dit la tavernière avec un sourire.
-Et vous, comment vous appelez vous ?
-Gertrude !
Alors, la tavernière lui servit son gigot, avec un verre de jus de carise, et Aylan degusta son festin avec un grand plaisir. Cela faisait peut-être un mois qu'il n'avait mangé pareil festin, puis, la fatigue se fit sentir, et le jeune homme alla se coucher.
***
Après une nuit de sommeil agréable, Aylan alla en ville, au bazar, comme l'homme lui avait indiqué la veille. Il ne fit toutefois aucun vrai achat. Mais alors qu'il se promenait, il fit une rencontre surprenante, il revit une personne qu'il n'aurait jamais attendu.
Surpris, il se rapprocha, pour verifier si il ne s'était pas trompé. Il n'en cru pas ses yeux. Il s'approcha et demanda :
-Es-ce bien toi, mon frère ?