Concours de Poésie Libre
Publié : 20 octobre 2013, 23:36
[HRP]Le concours libre se situe le lendemain du concours à thème soyez donc cohérent dans vos rps [/HRP]
Après une nuit passée dans une bonne taverne d'Urpis tout frais payés par le donateur du concours vous vous êtes rendu à Ertuen où vous avez fait le pied de grue à l'extérieur de la banque dans le frais matinal durant un on quart d'heure.
Puis le juge venu mettre les affiches la veille pour le concours à thème reviens par le même chemin
Sans un mot il passe devant vous plongé dans ses pensées comme hier, avant de chercher une clé qui visiblement avait encore glissée au fond de sa besace.
Après l'avoir retrouvée il rentre toujours sans un mot et referme la perte derrière lui.
Vous profitez, avec vos confrères poètes comme la veille, de l’occasion pour pouvoir vous mettre à l'intérieur, à l'abri du vent frais matinal.
Voyant que cette fois il attend comme vous devant la salle vous entamez la discussion avec lui
"Mon Seigneur, vous êtes venus pour nous juger cette fois ?"
Vous voyez un expression de surprise passer un instant sur son visage avant sa réponse.
"Non aujourd'hui pas de procès, Iridius soit loué !
Pourquoi vous posez cette question vous avez commis un délit récemment ?"
Vous songez un instant aux 200 stells que vous venez de dérober dans la bourse même du juge.;
Puis vous répondez avec habitude.
"Oh non. Moi je ne parlait pas de ces jugements là mais du concours de poésie."
"Ah bah ca tombe bien!
Je doit m'y rendre pour encadrer les votes du public et les poètes pour qu'il n'y ai pas de fraudes."
"Et vous ne pourriez pas nous ouvrir la salle comme la dernière fois ?"
"Et bien cette fois comme Monsieur Notre Mécène attend déjà dans la salle il ne tient pas à être dérangé.
Je n'ai surtout pas envie de déranger quelqu'un qui me paye si bien."
Il s’arrête un instant conscient qu'il en à peut être trop dit.
Il reprend la parole mais cette fois un ton en dessous et avec un air entendu
"Enfin vous gardez ça pour vous hein... l'histoire des primes sur mon salaire ..."
Vous lui répondez avec un grand sourire, le même que l'on fait au bureaucrates incompétent et qui permet de gagner un temps fou sur les procédures.
Le sourire entendu qui veut dire: "je sait ne vous inquiétez pas on m'a déjà tout expliqué."
"Vous Savez monsieur c'est notre intérêt à tous les deux alors... c'est déjà comme si c’était fait ."
La conversation s'arrête visiblement le juge a finit par comprendre qu'il était peu être dans son intérêt de se taire.
Pour tuer le temps vous rejetez un coup d’œil au parchemin placardé qui indique le nom des participants:

Vous en comptez sept sur le parchemin et cinq dans la salle en comptant vous même.
Deux retardataire visiblement.
C'était sans doute ceux qu'il avait vu hier soir dans les faubourgs en compagnie des dames de compagnies d'Urpis chantant a tue tête des chansons braillardes.
Tant mieux, songez vous, ça fera des places de plus pour les récompenses. [HRP] clin d'oeil à Eanil qui connait bien cette mentalité en médecine
[/HRP]
Vous entendez la porte se déverrouiller de l'intérieur.
Elle s'ouvre sur la même salle qu'hier mais avec cette fois Monsieur Notre Mécène, comme il aime à se faire appeler, déjà présent.
Vous apercevez l'ombre de l'un de ses gardes du corps derrière un pilier.

Il s'avance et avec un grand sourire que vous arrivez a distinguer sous son capuchon il vous souhaite la bienvenue
"Bonjours a vous Poètes.
J'espère que vous avez tous passés une bonne nuit."
les hochement de têtes où les figures ou se lisent un mal de têtes prononcés font office de réponse à sa question qui n'en était pas une.
Il enchaine d'ailleur tout de suite dans le vif du sujet.
"Alors que nous avez vous concoctés aujourd'hui pour le concours libre ?"
Après une nuit passée dans une bonne taverne d'Urpis tout frais payés par le donateur du concours vous vous êtes rendu à Ertuen où vous avez fait le pied de grue à l'extérieur de la banque dans le frais matinal durant un on quart d'heure.
Puis le juge venu mettre les affiches la veille pour le concours à thème reviens par le même chemin
Sans un mot il passe devant vous plongé dans ses pensées comme hier, avant de chercher une clé qui visiblement avait encore glissée au fond de sa besace.
Après l'avoir retrouvée il rentre toujours sans un mot et referme la perte derrière lui.
Vous profitez, avec vos confrères poètes comme la veille, de l’occasion pour pouvoir vous mettre à l'intérieur, à l'abri du vent frais matinal.
Voyant que cette fois il attend comme vous devant la salle vous entamez la discussion avec lui
"Mon Seigneur, vous êtes venus pour nous juger cette fois ?"
Vous voyez un expression de surprise passer un instant sur son visage avant sa réponse.
"Non aujourd'hui pas de procès, Iridius soit loué !
Pourquoi vous posez cette question vous avez commis un délit récemment ?"
Vous songez un instant aux 200 stells que vous venez de dérober dans la bourse même du juge.;
Puis vous répondez avec habitude.
"Oh non. Moi je ne parlait pas de ces jugements là mais du concours de poésie."
"Ah bah ca tombe bien!
Je doit m'y rendre pour encadrer les votes du public et les poètes pour qu'il n'y ai pas de fraudes."
"Et vous ne pourriez pas nous ouvrir la salle comme la dernière fois ?"
"Et bien cette fois comme Monsieur Notre Mécène attend déjà dans la salle il ne tient pas à être dérangé.
Je n'ai surtout pas envie de déranger quelqu'un qui me paye si bien."
Il s’arrête un instant conscient qu'il en à peut être trop dit.
Il reprend la parole mais cette fois un ton en dessous et avec un air entendu
"Enfin vous gardez ça pour vous hein... l'histoire des primes sur mon salaire ..."
Vous lui répondez avec un grand sourire, le même que l'on fait au bureaucrates incompétent et qui permet de gagner un temps fou sur les procédures.
Le sourire entendu qui veut dire: "je sait ne vous inquiétez pas on m'a déjà tout expliqué."
"Vous Savez monsieur c'est notre intérêt à tous les deux alors... c'est déjà comme si c’était fait ."
La conversation s'arrête visiblement le juge a finit par comprendre qu'il était peu être dans son intérêt de se taire.
Pour tuer le temps vous rejetez un coup d’œil au parchemin placardé qui indique le nom des participants:

Vous en comptez sept sur le parchemin et cinq dans la salle en comptant vous même.
Deux retardataire visiblement.
C'était sans doute ceux qu'il avait vu hier soir dans les faubourgs en compagnie des dames de compagnies d'Urpis chantant a tue tête des chansons braillardes.
Tant mieux, songez vous, ça fera des places de plus pour les récompenses. [HRP] clin d'oeil à Eanil qui connait bien cette mentalité en médecine

Vous entendez la porte se déverrouiller de l'intérieur.
Elle s'ouvre sur la même salle qu'hier mais avec cette fois Monsieur Notre Mécène, comme il aime à se faire appeler, déjà présent.
Vous apercevez l'ombre de l'un de ses gardes du corps derrière un pilier.

Il s'avance et avec un grand sourire que vous arrivez a distinguer sous son capuchon il vous souhaite la bienvenue
"Bonjours a vous Poètes.
J'espère que vous avez tous passés une bonne nuit."
les hochement de têtes où les figures ou se lisent un mal de têtes prononcés font office de réponse à sa question qui n'en était pas une.
Il enchaine d'ailleur tout de suite dans le vif du sujet.
"Alors que nous avez vous concoctés aujourd'hui pour le concours libre ?"