Hercule tenait fermement Justicar. Il regarda soigneusement Armalia qui tenait elle aussi son arme avec détermination mais elle dégageait un peu de manque d'assurance. Surement la première bataille pour la petite femme.
- Se couvrir mutuellement, c'est la clé de la survie, la moindre erreur et c’est la mort !
Il ne voulait pas l'impressionner mais simplement lui dire la vérité. Une vérité qui pouvais lui sauver la vie. Le paladin regarda le groupe de squelette avancer. La brume présente, empêcher de vérifier le nombre exacte d'assaillants. Il ferma les yeux et se laissa envahir par l'air ambiant, efin de se canaliser, de se concentrer. Armalia attendait et regardait le paladin, pour le signal de l'attaque. Les squelettes avançaient dangereusement mais Hercule bougeait pas. Ce n’est ne qu'au bout de quelques secondes, lorsque les squelettes arrivèrent à 5 mètres, certains levant leur armes pour attaquer, qu'hercule ouvrit les yeux et une aura intense rouge, l entoura et les runes de son arme s’activèrent :
- maintenant !
Hercule favorisa la puissance qu'à la rapidité, ne sachant pas comment allait être Armalia, il voulait évoluer à sa vitesse, afin de combattre ensemble ! hercule para la première attaque puis avec un joli moulinet, découpa deux morts vivants. Armalia se battait comme un vrai soldat, hercule sa calait sur ses gestes, ses mouvements étaient fluides, la cape frôlant quelques fois, les cheveux de la naine. Les squelettes tombaient comme des mouches, le poing toujours serrer et en mouvement perpétuelle, alternant, parade et contre. La bataille se déroulait bien mais le problème avec les morts vivants : leur facilité à tomber. Hercule accéléra les mouvements ne comptant plus le nombre d'adversaire tombant sur le sol et oublia Armalia, un seul instant. Il était indomptable et violent. si les morts pouvaient saigner, une marre de sang aurait fait son apparition sous ses pieds.
Soudain, une taillade venant de son dos, le mis en alerte, il était encercler et Armalia seule à quelques mètres de lui combattait au milieu de ses cadavres ambulants... Le paladin perdit le contrôle, il avait échoué, il était tombé dans la facilité. Son aura s'intensifia, ses yeux étaient éclatants, tous les muscles de son corps, s'étaient contractés, il para deux épées puis trouva une faille dans le temps des attaques des squelettes autour de lui : il mit un genou à terres et balaya, d'un seul geste les jambes de ces derniers qui s écroulèrent aussitôt puis repartit en direction d'Armalia, en tournant sur lui même, parant de son bouclier et tranchant les os venant de toute part ! Il finit sa course, l'arme baissée, le regard vers le sol et le bouclier lever, pulvérisant un squelette qui allait porter un coup à Armalia.
- je suis désolé, j'ai manqué à la propre règle de combat.. c'est impardon...
Une ombre géante apparu derrière hercule, il ne l'avait pas vu venir. De justesse, il put amortir le coup avec son bouclier, qui fut violent : le paladin fut projeté et stoppé par un tronc d'arbre quelques mètres plus loin. Il tomba face contre terre et avait du mal à respirer. Par réflexe, il se redressa le bras pendant, portant le bouclier, mais l'arme toujours en main. Hercule ouvra la bouche en grand et écarquilla les yeux. Ce qui l'impressionna, n'était pas l'imposant chef squelette qui l'avait fauché avec cette grande hache mais, l'imposante armée qui fut révéler par l'extinction de la brume. Il déglutit, il était dans une impasse. Il avait toujours été habitué à fuir dans ces situations quand il était chez les paladins, que devait il faire ? Pour l'instant, dans son esprit, il était désarmé, comme un vulgaire paysan tenant sa fourche devant un cyclope.
- Rah lalala... qu'est ce que tu ferais sans moi... Si tu ne te dépêche pas... la naine va finir découper en morceaux par le gros la bas...
Il était revenu et Hercule eut une pensée positive sur l’intervention de son hôte. Effectivement pendant, sa pause, le chef des squelettes s'en était pris à Armalia, qui ne faisait que riposter devant cette puissance dévastatrice. Hercule vit rouge, non seulement, vis à vis de son aura mais de la mauvaise posture de la petite femme.
- Bon qu'est ce que tu attends ? l'ombre avait les bras croisés et semblait taper du pied, tu ne vas pas me dire, que tout les efforts que je fais pour te rendre plus fort, ne servent à rien ?? MAIS BOUGE TOI !! MONTRE LEUR QUI ES TU VRAIMENT !
Le sang d'Hercule ne fit qu'un tour, il se redressa et rangea son bouclier, son bras lui faisait mal mais il pouvait encore s'en servir. Il commença une course vers le géant. plus il gagnait en vitesse, plus son aura augmentait et plus son regard était lumineux. il continua sa course sur un petit monticule de rocher, sautillant sur les rochers pour garder sa vitesse de course. Il prit justicar avec ses deux mains et plaça l'arme sur le coté vers l'arrière et se prépara à bondir.
- On... ne... touche... pas... à... ceux...veulent...changer...le monde ! cria-t-il vers le grand squelette qui le regardait fixement à présent.
hercule prit son appui sur le dernier rocher et sauta droit sur son adversaire, passant au dessus d'Armalia. Une forme gigantesque issu de son aura se dessina autour de lui : Un grand lion, la crinière gigotante et la gueule béante, prête à gober l'ennemi. malgré les réflexes lent des morts vivants, celui la, avait quelque peu anticipé une attaque et plaça son arme de façon à parer le coup de l'inquisiteur. Un flash d'énergie apparut, l'arme du géant céda par la violence du coup et fit voler le chef sur une dizaine de mètre, fauchant une dizaine de squelette au passage ! le paladin avait un genou au sol ainsi que les mains. justicar à quelques centimètres, il suait de tout son corps, les gouttes retombant sur le sol, qu'il n’arrêtait pas de fixer, il ne pouvait pas bouger, trop d'énergie dépensée . Le géant n'était pas vaincu, ce dernier grogna et se releva tant bien que mal. c'était une évidence, ils ne pouvaient pas battre la horde :
- RETRAITE ! hurla-t-il de tout son être
Guilde en voyage vers Ertuen
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Dernière modification par hercule le 21 novembre 2013, 07:13, modifié 2 fois.
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Le combat faisait rage en face de lui, le mage ne put que regarder de loin la bataille qui se déroulait sous ses yeux. Hercule l'avait placé en retrait pour couvrir les arrières du groupe pour qu'une porte de sortie soit toujours possible et praticable. C'est exactement ce à quoi Wayard était occupé pendant que les guerriers luttaient au corps à corps.
Au début du combat, il enflammait les flèches de Cathari, mais dorénavant la horde de squelettes avait contournée le groupe et se trouvait donc en face du mage. Petit à petit, Wayard sentit le souffle putride se rapprocher de lui et de l'Elfe. Il sortit son épée, l'ensorcela avec un sort mineur et commença à tailler dans le lard. Les coups pleuvaient, les cadavres s'entassaient, la magie envoutait, la sueur dégoulinait, la fatigue s'emmagasinait, et malgré tout cela, il y avait toujours plus de squelettes qui s'approchait. Le groupe était dans une situation critique, bien qu'il avait reçu le soutient d'une Elfe noire que Wayard ne connaissait pas.
Hercule était en train de lutter contre à priori le chef des squelettes ambulants. Le duel était de toute beauté, la grâce des combattants était tel que tous regardait Hercule mettre à terre le géant squelette. Après un petit moment où l'intelligence de l'ancien chef des armées étincelait, Hercule décide de sonner la retraite et demanda à tous de s'enfuir en laissant tomber la foule de squelette et le combat impossible à gagner.
Wayard avait réussi à tenir ouvert la porte de sortie, la fuite était donc toujours possible pour le groupe. Wayard interpella Hercule :
"Hercule, emporte les tous, veille à ce que personne ne reste ici, je couvre votre retraire, je vais les retenir. Je vous rejoindrais plus tard."
"Si je survit" pensa t'il. Il savait que le combat allait devenir extrêmement infaisable seul, face à cette horde, mais il devait donner le temps à Hercule de sauver tout le monde. Il s'adressa à Cathari, toujours dans l'arbre.
"Cathari, ne reste pas ici, je n'ai pas besoin d'aide. Sauve toi au plus vite, guide les dans un endroit sûr."
Au début du combat, il enflammait les flèches de Cathari, mais dorénavant la horde de squelettes avait contournée le groupe et se trouvait donc en face du mage. Petit à petit, Wayard sentit le souffle putride se rapprocher de lui et de l'Elfe. Il sortit son épée, l'ensorcela avec un sort mineur et commença à tailler dans le lard. Les coups pleuvaient, les cadavres s'entassaient, la magie envoutait, la sueur dégoulinait, la fatigue s'emmagasinait, et malgré tout cela, il y avait toujours plus de squelettes qui s'approchait. Le groupe était dans une situation critique, bien qu'il avait reçu le soutient d'une Elfe noire que Wayard ne connaissait pas.
Hercule était en train de lutter contre à priori le chef des squelettes ambulants. Le duel était de toute beauté, la grâce des combattants était tel que tous regardait Hercule mettre à terre le géant squelette. Après un petit moment où l'intelligence de l'ancien chef des armées étincelait, Hercule décide de sonner la retraite et demanda à tous de s'enfuir en laissant tomber la foule de squelette et le combat impossible à gagner.
Wayard avait réussi à tenir ouvert la porte de sortie, la fuite était donc toujours possible pour le groupe. Wayard interpella Hercule :
"Hercule, emporte les tous, veille à ce que personne ne reste ici, je couvre votre retraire, je vais les retenir. Je vous rejoindrais plus tard."
"Si je survit" pensa t'il. Il savait que le combat allait devenir extrêmement infaisable seul, face à cette horde, mais il devait donner le temps à Hercule de sauver tout le monde. Il s'adressa à Cathari, toujours dans l'arbre.
"Cathari, ne reste pas ici, je n'ai pas besoin d'aide. Sauve toi au plus vite, guide les dans un endroit sûr."
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Nous devions nous défendre l'un l'autre, ne faire qu'un face à la horde qui semblait augmenter ses rangs au fur et à mesure qu'elle gagnait du terrain. Je savais qu'Hercule pouvait se défendre, il pourrait même faucher la plupart de ces squelettes en étant seul. J'étais plutôt une tare de ce point de vue, car il se sentirait obligé de me protéger et serait moins concentré sur la bataille. Je voulais lui dire de ne pas s'en faire pour moi, mais à ce moment là il avait déjà commencé à lutter.
Je pris de l'élan, baissant ma hache sur le côté droit. En suivant l'avancée d'Hercule, je pris de la vitesse, ce qui était favorable pour la suite. En effet une fois à la portée d'un premier squelette, je stoppais net ma course, glissant légèrement sur le sol humide et légèrement boueux, mais laissais mes bras se balancer en avant. Levant ainsi ma hache à une vitesse impressionnante, celle-ci traversa sans problème le crâne de ma cible, de bas en haut, la faisant éclater en deux morceaux. C'était ma première victime.
Je continuais à me battre sans me soucier des cadavres qui jonchaient le sol, leur marchant dessus sans arrêt. J'alternais les parades et les attaques, tenant toujours ma hache à deux mains. Lorsque par réflexe je protégeais mon visage avec mon bras pour stopper un gourdin, je me rendis compte qu'une main suffisait pour porter mon arme. L'impact du bois massif sur mon avant-bras me fit souffrir, mais avec chance je n'eus rien de cassé. Je ripostais avec ma hache, attaquant le squelette au gourdin de la même façon, il m'imita également, mais le tranchant de ma hache traversa ses os sans peine.
Je me faisais rapidement au combat, oubliant jusqu'à l'existence même de mon partenaire. Lui couvrait mes arrières, je n'avais donc rien à craindre dans mon dos. Enfin ceci ne dura pas très longtemps. Restant focalisée sur les squelettes me faisant face, je ne sentis pas arriver celui qui me sauta sur le dos. Il tenta de m'étouffer avec ses mains osseuses, serrant mon cou avec une force que je n'aurais jamais soupçonné. L'instinct de survie me fit faire quelque chose que jamais je n'aurais pensé pouvoir faire. Je fermai mon poing sans arme, et le projetai en arrière, par-dessus mon épaule, percutant la tête du squelette de plein fouet. Il lâcha prise, se posta un mètre derrière moi, toujours conscient. Je me retournais, prête à finir mon travail. Il avait une fente tout le long de son front, mon poing avait entamé l'os. M'appuyant sur un pied, je bondis tel un fauve sur lui et pointa à nouveau mon poing fermé sur le crâne fragilisé. Celui-ci explosa à l'arrivée de la main, mon bras passa au travers de sa boîte crânienne. Je l'enlevais, laissant choir le cadavre à mes pieds.
Hercule était loin de moi, nous étions séparés par plusieurs squelettes. Il semblait très ennuyé en me voyant seule contre tous, et revint aussitôt vers moi, s'excusant profondément. En ramassant une épée inutilisée, je me redressais en le regardant. Un fin sourire se dessina sur mon visage en sueur. Je sentis une goutte chaude descendre sur mon front. J'avais été frappée au visage, mais ne m'en souvenais pas. Je saignais légèrement, et essuyais rapidement le liquide odorant avant qu'il ne vienne déranger les narines d'Alex'heya. Hercule se fit éjecté par un monstre colossal, qui avait fait irruption dans son dos, se retrouvant à plusieurs mètres de moi, à nouveau.
L'être gigantesque se tenant face à moi releva son arme démesurée, réplique de ma hache, mais au moins vingt fois plus grande. De ma taille de naine, je ne pouvais espérer lui faire quoi que ce soit. Je devais l'éviter. Il abattit son hachoir sur moi après l'avoir levé au-dessus de la tête ornée d'un casque en acier bien solide. J'esquivais de peu le cou fatal, qui toucha quelques mèches de mes cheveux, les coupant net. J'aurais difficilement pu plus mal tomber...
Je tenais bon tant que je le pouvais, gardant les yeux attentifs aux moindres geste du mastodonte, plutôt lent d'ailleurs. Je devais aussi arrêter les attaques des autres squelettes, qui bien sûr n'avaient pas stoppé leurs offensives pour autant. L'épée et la hache alternaient les rôles, parant l'une après l'autre les volées de lames me tombant dessus. Mais la fatigue gagnait mon corps. Je ne pourrais pas tenir très longtemps ainsi.
Mes forces me quittant peu à peu, je finis par poser un genou à terre, à bout de souffle. Le géant en profita pour entamer une nouvelle offensive. C'est à ce moment-là qu'une lumière jaillit au-dessus de moi. Je levais la tête pour mieux la voir. Un animal majestueux fendit l'obscurité surplombant ma tête pour finir sa course contre le chef squelette, arrêté dans son élan. Sa hache vola en éclat, et il fut expulsé loin de moi. La bête brillant d'un rouge identique à celui des sceaux d'Hercule atterrit sur ses pattes, devant moi. Je crus reconnaître l'allure d'un lion, animal inspirant la grâce et la puissance. L'aura d'iminua en intensité, laissant apparaître, à ma grande surprise, mon frère d'arme, Hercule. Il était à quatre-pattes, épuisé par son action. Devant moi, plus loin, je vis le colosse se redresser, visiblement furieux, mais désarmé. Je courais vers mon partenaire, l'aidant à se relever. Il hurla à toute la bande un ordre qui me paru sensé on ne peut plus sensé. Nous devions nous retirer.
Le soutenant en l'enserrant par les hanches, je l'aidais à marcher, le temps qu'il se remette. Je repoussais tant bien que mal les attaques incessantes de nos adversaires, beaucoup trop nombreux, tentant ainsi de nous frayer un chemin jusqu'à la forêt, plus sûre pour une fuite. Nous avancions lentement, mais nous avancions... Wayard nous dit de fuir, qu'il retiendrait autant que possible l'avancée de l'armée dans les bois. Quant à Kaevann et Alex'heya, je ne pouvais qu'espérer qu'il s'en sortiraient vivants. J'avais cru voir une autre personne, mais je n'avais pas eu le temps de la cerner. Nous devions fuir, courir, échapper à la mort, tout le reste importait peu.
Je pris de l'élan, baissant ma hache sur le côté droit. En suivant l'avancée d'Hercule, je pris de la vitesse, ce qui était favorable pour la suite. En effet une fois à la portée d'un premier squelette, je stoppais net ma course, glissant légèrement sur le sol humide et légèrement boueux, mais laissais mes bras se balancer en avant. Levant ainsi ma hache à une vitesse impressionnante, celle-ci traversa sans problème le crâne de ma cible, de bas en haut, la faisant éclater en deux morceaux. C'était ma première victime.
Je continuais à me battre sans me soucier des cadavres qui jonchaient le sol, leur marchant dessus sans arrêt. J'alternais les parades et les attaques, tenant toujours ma hache à deux mains. Lorsque par réflexe je protégeais mon visage avec mon bras pour stopper un gourdin, je me rendis compte qu'une main suffisait pour porter mon arme. L'impact du bois massif sur mon avant-bras me fit souffrir, mais avec chance je n'eus rien de cassé. Je ripostais avec ma hache, attaquant le squelette au gourdin de la même façon, il m'imita également, mais le tranchant de ma hache traversa ses os sans peine.
Je me faisais rapidement au combat, oubliant jusqu'à l'existence même de mon partenaire. Lui couvrait mes arrières, je n'avais donc rien à craindre dans mon dos. Enfin ceci ne dura pas très longtemps. Restant focalisée sur les squelettes me faisant face, je ne sentis pas arriver celui qui me sauta sur le dos. Il tenta de m'étouffer avec ses mains osseuses, serrant mon cou avec une force que je n'aurais jamais soupçonné. L'instinct de survie me fit faire quelque chose que jamais je n'aurais pensé pouvoir faire. Je fermai mon poing sans arme, et le projetai en arrière, par-dessus mon épaule, percutant la tête du squelette de plein fouet. Il lâcha prise, se posta un mètre derrière moi, toujours conscient. Je me retournais, prête à finir mon travail. Il avait une fente tout le long de son front, mon poing avait entamé l'os. M'appuyant sur un pied, je bondis tel un fauve sur lui et pointa à nouveau mon poing fermé sur le crâne fragilisé. Celui-ci explosa à l'arrivée de la main, mon bras passa au travers de sa boîte crânienne. Je l'enlevais, laissant choir le cadavre à mes pieds.
Hercule était loin de moi, nous étions séparés par plusieurs squelettes. Il semblait très ennuyé en me voyant seule contre tous, et revint aussitôt vers moi, s'excusant profondément. En ramassant une épée inutilisée, je me redressais en le regardant. Un fin sourire se dessina sur mon visage en sueur. Je sentis une goutte chaude descendre sur mon front. J'avais été frappée au visage, mais ne m'en souvenais pas. Je saignais légèrement, et essuyais rapidement le liquide odorant avant qu'il ne vienne déranger les narines d'Alex'heya. Hercule se fit éjecté par un monstre colossal, qui avait fait irruption dans son dos, se retrouvant à plusieurs mètres de moi, à nouveau.
L'être gigantesque se tenant face à moi releva son arme démesurée, réplique de ma hache, mais au moins vingt fois plus grande. De ma taille de naine, je ne pouvais espérer lui faire quoi que ce soit. Je devais l'éviter. Il abattit son hachoir sur moi après l'avoir levé au-dessus de la tête ornée d'un casque en acier bien solide. J'esquivais de peu le cou fatal, qui toucha quelques mèches de mes cheveux, les coupant net. J'aurais difficilement pu plus mal tomber...
Je tenais bon tant que je le pouvais, gardant les yeux attentifs aux moindres geste du mastodonte, plutôt lent d'ailleurs. Je devais aussi arrêter les attaques des autres squelettes, qui bien sûr n'avaient pas stoppé leurs offensives pour autant. L'épée et la hache alternaient les rôles, parant l'une après l'autre les volées de lames me tombant dessus. Mais la fatigue gagnait mon corps. Je ne pourrais pas tenir très longtemps ainsi.
Mes forces me quittant peu à peu, je finis par poser un genou à terre, à bout de souffle. Le géant en profita pour entamer une nouvelle offensive. C'est à ce moment-là qu'une lumière jaillit au-dessus de moi. Je levais la tête pour mieux la voir. Un animal majestueux fendit l'obscurité surplombant ma tête pour finir sa course contre le chef squelette, arrêté dans son élan. Sa hache vola en éclat, et il fut expulsé loin de moi. La bête brillant d'un rouge identique à celui des sceaux d'Hercule atterrit sur ses pattes, devant moi. Je crus reconnaître l'allure d'un lion, animal inspirant la grâce et la puissance. L'aura d'iminua en intensité, laissant apparaître, à ma grande surprise, mon frère d'arme, Hercule. Il était à quatre-pattes, épuisé par son action. Devant moi, plus loin, je vis le colosse se redresser, visiblement furieux, mais désarmé. Je courais vers mon partenaire, l'aidant à se relever. Il hurla à toute la bande un ordre qui me paru sensé on ne peut plus sensé. Nous devions nous retirer.
Le soutenant en l'enserrant par les hanches, je l'aidais à marcher, le temps qu'il se remette. Je repoussais tant bien que mal les attaques incessantes de nos adversaires, beaucoup trop nombreux, tentant ainsi de nous frayer un chemin jusqu'à la forêt, plus sûre pour une fuite. Nous avancions lentement, mais nous avancions... Wayard nous dit de fuir, qu'il retiendrait autant que possible l'avancée de l'armée dans les bois. Quant à Kaevann et Alex'heya, je ne pouvais qu'espérer qu'il s'en sortiraient vivants. J'avais cru voir une autre personne, mais je n'avais pas eu le temps de la cerner. Nous devions fuir, courir, échapper à la mort, tout le reste importait peu.
Armalia, naine au service de l'Ordre Noir
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
malgré les volées de flèches enflammée par la magie noire de Wayard, les troupes étaient de plus en plus nombreuses et de plus en plus agressive.
Les valeureux magicien faisaient de bonnes attaques , mais tout cela n'était pas suffisant pour éradiquer la vermine . On se demandait d'où pouvait venir cette troupe même cette horde de mort vivant.
Coup de boucliers et d'épées raisonnaient dans la clairière. mais l'issue de la bataille était trop incertaine. Il fallait que quelqu'un prenne une décision et très vite.
C'est a ce moment qu'elle entendit Wayard donner des consigne a hercule qui cria dans la minute " RETRAITE"
Cathari essaya de trouver une solution pour ramener les gens dans un endroit sécurisé en attendant que la nuit se lèvent pour prendre le deuxième chemin qu'elle connaissait.
Elle sauta de son arbre et se rapprocha de Kaevann " Par la , je connais un tunnel qui pourra nous protéger des monstres et qui nous permettra de nous reposer et d'attendre la fin de la nuit "
Elle indiqua la direction a l'ensemble des compatriotes et a Wayard qui volais assurer nos arrières.
Il marchèrent dans la pénombre de la foret et arrivèrent dans le tunnel.
" Voici notre lieux de villégiatures pour quelques heures."
Et l'elfe s'enfonça dans le Tunnel
Les valeureux magicien faisaient de bonnes attaques , mais tout cela n'était pas suffisant pour éradiquer la vermine . On se demandait d'où pouvait venir cette troupe même cette horde de mort vivant.
Coup de boucliers et d'épées raisonnaient dans la clairière. mais l'issue de la bataille était trop incertaine. Il fallait que quelqu'un prenne une décision et très vite.
C'est a ce moment qu'elle entendit Wayard donner des consigne a hercule qui cria dans la minute " RETRAITE"
Cathari essaya de trouver une solution pour ramener les gens dans un endroit sécurisé en attendant que la nuit se lèvent pour prendre le deuxième chemin qu'elle connaissait.
Elle sauta de son arbre et se rapprocha de Kaevann " Par la , je connais un tunnel qui pourra nous protéger des monstres et qui nous permettra de nous reposer et d'attendre la fin de la nuit "
Elle indiqua la direction a l'ensemble des compatriotes et a Wayard qui volais assurer nos arrières.
Il marchèrent dans la pénombre de la foret et arrivèrent dans le tunnel.
" Voici notre lieux de villégiatures pour quelques heures."
Et l'elfe s'enfonça dans le Tunnel
La pire des perversions n'est rien par rapport aux sévices que peut infliger une Chamane.
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Je ne sais pas combien de temps je suis restée sur le champ de bataille. J'avais beau supprimer mes adversaires au fur et à mesure qu'ils s'amenaient, j'avais l'impression que le flux restait constant sans jamais montrer signe de diminution. Cette armée était beaucoup trop dense pour sept personnes.
La petite drow qui avait débarqué à l'improviste -ce qui était loin d'être plaisant à mes yeux- semblait prendre du plaisir à défaire les squelettes à tour de bras, se lançant sans montrer le moindre signe d'hésitation ou de fatigue sur les soldats. Elle était en train de me voler la vedette, chipie!
Je continuais de me concentrer sur les ennemis, pour ne pas me sentir dépassée par cette gamine, jetant un œil de temps en temps dans la direction de Kaevann, pour m'assurer qu'il tenait le coup. Sa technique de combat était ingénieuse, mêlant magie et force physique, il se défendait plutôt bien. Mais il avait quand même du mal à tenir, je le voyais faiblir un peu plus à chaque instant.
Je m'amusais, ces vulgaires pantins n'étaient pas durs à achever, ils étaient nombreux, certes, mais tombaient facilement. Etant fréquemment encerclée par tous ces squelettes, je passais mon temps à tourner sur moi-même, pointant mes griffes tantôt dans la poitrine d'un soldat, tantôt dans les orbites creuses d'un autre. Mes déplacements fluides et rapides faisaient flotter ma robe, mes cheveux volant sous l'effet de ma rotation plutôt rapide. On aurait pu croire que je dansais si je n'étais pas au milieu de ces innombrables guerriers sans vie.
Une vive lumière à notre droite me fit ralentir, je pouvais voir un grand squelette, dépassant largement la taille des autres . Celui-ci venait de se faire percuter par un... Lion?? Je crus d'abord à un sort lancé par le mage resté en retrait, puis je vis la lumière s'affaiblir pour faire apparaître Hercule. Je ne comprenais pas ce qui s'était passé, mais visiblement ça allait plutôt mal de leur côté. L'inquisiteur ne tarda pas à crier au groupe de se replier, ce que j'acceptais avec regret, je ne m'étais pas assez amusée... Posant une main sur l'épaule de l'elfe noir, je lui indiquais la forêt par un hochement de la tête, puis nous avancèrent ensemble pour rejoindre Cathari, qui nous attendait pour nous guider à nouveau entre les arbres.
J'avais totalement oublié la jeune drow en armure. Puis en me retournant je décidais de la laisser se débrouiller, elle occuperait les morts-vivants le temps que nous puissions fuir, puisqu'elle avait l'air dans son élément, autant la laisser. Kaevann n'était pas du même avis, je crois qu'il voulait l'attendre, car il s'arrêta et regarda longuement en arrière pour voir quand cette gamine se déciderait à le rejoindre. Marchant donc seule je fracassais les crânes des importuns qui osaient m'attaquer dans mon dos avec mes poings et mes griffes, me servant moins souvent du couteau, peu efficace contre des êtres sans chair, et je continuais de marcher ainsi jusqu'à arriver au niveau de l'archère. Armalia venait de nous rejoindre, tenant Hercule par la taille. Il était épuisé.
Wayard resterait là pour retenir l'avancée des squelettes, nous laissant le temps de fuir, jusqu'à un tunnel indiqué par l'elfe. Nous y trouverions refuge le temps de nous remettre de cette mésaventure. Laissant les blessés s'engouffrer dans la grotte sombre, je restais à l'entrée pour indiquer notre position aux retardataires. Pour je ne sais quelle raison, j'avais l'espoir de voir revenir les derniers en un seul morceau, alors que peu de temps avant leur absence m'aurait laissée totalement indifférente.
*Vous avez intérêt de revenir vivants, et vite...* pensais-je, presque inquiète. Armes en mains, je guettais leur arrivée.
La petite drow qui avait débarqué à l'improviste -ce qui était loin d'être plaisant à mes yeux- semblait prendre du plaisir à défaire les squelettes à tour de bras, se lançant sans montrer le moindre signe d'hésitation ou de fatigue sur les soldats. Elle était en train de me voler la vedette, chipie!
Je continuais de me concentrer sur les ennemis, pour ne pas me sentir dépassée par cette gamine, jetant un œil de temps en temps dans la direction de Kaevann, pour m'assurer qu'il tenait le coup. Sa technique de combat était ingénieuse, mêlant magie et force physique, il se défendait plutôt bien. Mais il avait quand même du mal à tenir, je le voyais faiblir un peu plus à chaque instant.
Je m'amusais, ces vulgaires pantins n'étaient pas durs à achever, ils étaient nombreux, certes, mais tombaient facilement. Etant fréquemment encerclée par tous ces squelettes, je passais mon temps à tourner sur moi-même, pointant mes griffes tantôt dans la poitrine d'un soldat, tantôt dans les orbites creuses d'un autre. Mes déplacements fluides et rapides faisaient flotter ma robe, mes cheveux volant sous l'effet de ma rotation plutôt rapide. On aurait pu croire que je dansais si je n'étais pas au milieu de ces innombrables guerriers sans vie.
Une vive lumière à notre droite me fit ralentir, je pouvais voir un grand squelette, dépassant largement la taille des autres . Celui-ci venait de se faire percuter par un... Lion?? Je crus d'abord à un sort lancé par le mage resté en retrait, puis je vis la lumière s'affaiblir pour faire apparaître Hercule. Je ne comprenais pas ce qui s'était passé, mais visiblement ça allait plutôt mal de leur côté. L'inquisiteur ne tarda pas à crier au groupe de se replier, ce que j'acceptais avec regret, je ne m'étais pas assez amusée... Posant une main sur l'épaule de l'elfe noir, je lui indiquais la forêt par un hochement de la tête, puis nous avancèrent ensemble pour rejoindre Cathari, qui nous attendait pour nous guider à nouveau entre les arbres.
J'avais totalement oublié la jeune drow en armure. Puis en me retournant je décidais de la laisser se débrouiller, elle occuperait les morts-vivants le temps que nous puissions fuir, puisqu'elle avait l'air dans son élément, autant la laisser. Kaevann n'était pas du même avis, je crois qu'il voulait l'attendre, car il s'arrêta et regarda longuement en arrière pour voir quand cette gamine se déciderait à le rejoindre. Marchant donc seule je fracassais les crânes des importuns qui osaient m'attaquer dans mon dos avec mes poings et mes griffes, me servant moins souvent du couteau, peu efficace contre des êtres sans chair, et je continuais de marcher ainsi jusqu'à arriver au niveau de l'archère. Armalia venait de nous rejoindre, tenant Hercule par la taille. Il était épuisé.
Wayard resterait là pour retenir l'avancée des squelettes, nous laissant le temps de fuir, jusqu'à un tunnel indiqué par l'elfe. Nous y trouverions refuge le temps de nous remettre de cette mésaventure. Laissant les blessés s'engouffrer dans la grotte sombre, je restais à l'entrée pour indiquer notre position aux retardataires. Pour je ne sais quelle raison, j'avais l'espoir de voir revenir les derniers en un seul morceau, alors que peu de temps avant leur absence m'aurait laissée totalement indifférente.
*Vous avez intérêt de revenir vivants, et vite...* pensais-je, presque inquiète. Armes en mains, je guettais leur arrivée.
Doublon IG/RP D'Elerinna
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Kaevann n’esquiva pas assez vite un coup et fut bon pour une coupure sur l’épaule, il grogna sous la douleur mais la blessure n’était pas méchante. L’arme rouillée du squelette était par contre plus dangereuse que le saignement. La blessure allait s’infecter et Kaevann risquerait de mourir du tétanos. L’elfe noir courut derrière la vampire au signal de retraite, esquivant les coups avec plus d’intérêt, la blessure lui avait au moins redonner l’adrénaline du combat et la peur qui avait reprit le dessus sur la fatigue, même si ce n’était que pour quelques instants.
L’elfe noir se rendit compte que seule la nouvelle venue n’avait pas remarqué l’ordre de retraite :
« Il est inutile de poursuivre ce combat aujourd’hui ! » Lança l’elfe noir.
« Repliez-vous jusqu’au magicien en assurant les arrières du groupe puis courez ! » continua-t-il.
Kaevann rerit sa course en se débattant avec de furieux coup de dague et de canne pour se frayer un chemin vers le reste du groupe. Il aperçu Cathari mener la tête du groupe vers un détour, Kaevann arriva à hauteur d’Armalia et Hercule et défendit à son tour le paladin qui avait tout donné en affrontant le squelette géant qui mener l’ost maudite vers une quelconque destination. L’elfe noir n’était pas très habile dans le combat frontale mais pour défendre ses amis, il trouva des ressources qu’il ne soupçonnait pas et contenait les squelette à distance à grand coup de cane qu’il avait transformé en une masse d’arme gelé, une variante du sortilège de lacération gelé. La boule de l’arme était hérisser le pic de glace qui semblait assez menaçant, bien que les mort-vivant ne connaisse pas la crainte, cette arme improvisée s’avéra efficace pour les empêcher de prendre l’avantage.
Puis l’elfe noir se mit à souffler en dessinant avec son doigt le glyphe "obok elrie" dans les airs. Son souffle s’amplifia magiquement pour devenir une bourrasque qui renversa une vague de squelette au sol. Bien que cela ne provoqua aucune blessure sur les horreurs maudites, le sortilège fit gagner du temps au groupe d'aventurier qui dépassa Wayard pour s'échapper dans l'épaisse forêt.
L’elfe noir se rendit compte que seule la nouvelle venue n’avait pas remarqué l’ordre de retraite :
« Il est inutile de poursuivre ce combat aujourd’hui ! » Lança l’elfe noir.
« Repliez-vous jusqu’au magicien en assurant les arrières du groupe puis courez ! » continua-t-il.
Kaevann rerit sa course en se débattant avec de furieux coup de dague et de canne pour se frayer un chemin vers le reste du groupe. Il aperçu Cathari mener la tête du groupe vers un détour, Kaevann arriva à hauteur d’Armalia et Hercule et défendit à son tour le paladin qui avait tout donné en affrontant le squelette géant qui mener l’ost maudite vers une quelconque destination. L’elfe noir n’était pas très habile dans le combat frontale mais pour défendre ses amis, il trouva des ressources qu’il ne soupçonnait pas et contenait les squelette à distance à grand coup de cane qu’il avait transformé en une masse d’arme gelé, une variante du sortilège de lacération gelé. La boule de l’arme était hérisser le pic de glace qui semblait assez menaçant, bien que les mort-vivant ne connaisse pas la crainte, cette arme improvisée s’avéra efficace pour les empêcher de prendre l’avantage.
Puis l’elfe noir se mit à souffler en dessinant avec son doigt le glyphe "obok elrie" dans les airs. Son souffle s’amplifia magiquement pour devenir une bourrasque qui renversa une vague de squelette au sol. Bien que cela ne provoqua aucune blessure sur les horreurs maudites, le sortilège fit gagner du temps au groupe d'aventurier qui dépassa Wayard pour s'échapper dans l'épaisse forêt.
Hautain et Exalté, c'était Kaevann Tullaris.
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
Enfin, au cœur du combat! Quelle jouissance, après avoir dû attendre le moment propice pour s'y jeter voilà qu'Elerinna pouvait enfin assouvir son désir de guerroyer. Et elle ne se fit pas attendre! Après avoir fait son entrée fracassante auprès de l'elfe et de la femme en robe blanche, elle s'était élancée à contre courant dans le flot d'adversaires au débit toujours plus fort.
Elerinna faisait danser ses dagues dans ses mains, cognant presque au hasard les ennemis tant ils étaient nombreux. Avec un nombre pareil d'assaillants, elle n'avait pas le temps de faire dans le détail. Esquivant à certains moments, parant par d'autres, elle continuait d'avancer, s'éloignant de plus en plus de ses alliés. Son avancée fut cependant stoppée par un petit imprévu... Leur chef, un grand squelette portant une armure blindée et une hache monstrueuse... devant elle, marchant plus lentement que les autres squelettes, mais en ligne droite, sans se soucier de qui se trouvait devant lui.
*Sacré morceau, là je vais devoir m'accrocher!* pensa-t-elle en faisant la grimace. Dans un combat, savoir quelles sont ses limites est aussi une force, peut-être même encore plus importante que la force de frappe. La jeune guerrière devait cependant dévier la trajectoire du commandant, car visiblement il se dirigeait tout droit vers ses compagnons. Prise d'une poussée d'adrénaline, elle courut vers sa cible, toujours armée de ses poignards incurvés, repoussant sans peine les obstacles gênant sa course, aidée par son élan. Une fois face au capitaine squelettique, elle se rendit compte de sa taille démentielle, sa tête arrivant aux hanches du géant. Elerinna garda la tête haute et frappa violemment le tibia de ce dernier avec sa botte composée de plaques métalliques noires elles aussi plutôt solides. L'impact fit vibrer le pied de la drow jusqu'au haut de sa cuisse, mais le tibia du squelette ne sembla pas souffrir le moins du monde.
Le guerrier se pencha cependant, croyant avoir reçut une pichenette au niveau de la jambe, et fixa l'elfe d'un air sinistre. ses orbites vides semblaient indiquer à la petite guerrière insignifiante qu'elle ferait mieux de vite décamper. Mais, obstinée, elle recommença de frapper la jambe insensible du commandant. Celui-ci réagit cette fois, lançant son pied démesuré dans le ventre d'Elerinna, ce qui la fit décoller au moins dix mètres en arrière. Elle était tombée entre ledit squelette et la naine, combattant au côtés d'un puissant guerrier. De nouveau le géant marcha en ligne droite, cherchant la punaise qui osait le chatouiller.
Elerinna était frustrée, son plan n'avait rien changé, elle se faufila entre les multiples morts vivants pour échapper au regard du plus gros, qui fonçait sur les deux guerriers. La drow se rapprocha de ses deux partenaires, visiblement fatigués mais toujours debout. Elle ne put que constater qu'un affrontement entre l'homme à l'armure et son ancien adversaire était inévitable, et bientôt le guerrier se retrouvait en une position bien délicate, mettant en danger la naine qui le secondait. Elerinna préféra se concentrer sur son combat, après tout dans une guerre il y a toujours des pertes, dans les deux camps... Elle s'en voulut de les avoir conduit à pareille situation, et se défoula sur plus faibles qu'elle.
Un cri que jamais l'elfette n'aurait voulu entendre surplomba le brouhaha général causé par les impacts des armes entres elles et des armures cognées les unes aux autres. Le guerrier, à terre, venait de sonner la retraite. Le mage campé dans un arbre ordonna aux combattants de se replier le temps qu'il retienne l'avancée de la horde de ses sorts plutôt puissants. Mais seul il ne s'en sortirait pas.
-Je vais t'aider, le temps que le reste du groupe puisse bien reculer, je vais aussi retenir leurs assauts, cria-t-elle à l'attention du mage. Elle recula lentement lorsque le drow lui donna des indications sur ce qu'elle devait faire. " Repliez-vous jusqu’au magicien en assurant les arrières du groupe puis courez ! " Elle leva sa dague pour faire comprendre à son interlocuteur que le message était passé.
En marchant à reculons, Elerinna continuait de faucher les soldats, bien sûr elle n'arrivait pas à tous les avoir, mais le mage s'occupait du reste. arrivant à l'orée du bois, elle regarda en arrière pour se faire une idée de la distance à laquelle étaient les autres. Le guerrier avançait lentement, même aidé par la naine et le drow. Elle devrait donc rester un peu plus longtemps en avant, jusqu'au moment où elle pourrait aussi s'enfuir, accompagnée du mage.
-Quand tu les verras plus, on pourra se mettre à courir, alors regarde où ils en sont du haut de ton arbre, dès que c'est bon tu le dis. Elerinna n'était pas douée pour donner des ordres, mais elle préféra donner son point de vue, pour ne pas perdre de temps en réflexions. Quand le mage serait prêt, ils se montraient à courir aussi vite que possible jusqu'au repaire déniché par l'archère.
Elerinna faisait danser ses dagues dans ses mains, cognant presque au hasard les ennemis tant ils étaient nombreux. Avec un nombre pareil d'assaillants, elle n'avait pas le temps de faire dans le détail. Esquivant à certains moments, parant par d'autres, elle continuait d'avancer, s'éloignant de plus en plus de ses alliés. Son avancée fut cependant stoppée par un petit imprévu... Leur chef, un grand squelette portant une armure blindée et une hache monstrueuse... devant elle, marchant plus lentement que les autres squelettes, mais en ligne droite, sans se soucier de qui se trouvait devant lui.
*Sacré morceau, là je vais devoir m'accrocher!* pensa-t-elle en faisant la grimace. Dans un combat, savoir quelles sont ses limites est aussi une force, peut-être même encore plus importante que la force de frappe. La jeune guerrière devait cependant dévier la trajectoire du commandant, car visiblement il se dirigeait tout droit vers ses compagnons. Prise d'une poussée d'adrénaline, elle courut vers sa cible, toujours armée de ses poignards incurvés, repoussant sans peine les obstacles gênant sa course, aidée par son élan. Une fois face au capitaine squelettique, elle se rendit compte de sa taille démentielle, sa tête arrivant aux hanches du géant. Elerinna garda la tête haute et frappa violemment le tibia de ce dernier avec sa botte composée de plaques métalliques noires elles aussi plutôt solides. L'impact fit vibrer le pied de la drow jusqu'au haut de sa cuisse, mais le tibia du squelette ne sembla pas souffrir le moins du monde.
Le guerrier se pencha cependant, croyant avoir reçut une pichenette au niveau de la jambe, et fixa l'elfe d'un air sinistre. ses orbites vides semblaient indiquer à la petite guerrière insignifiante qu'elle ferait mieux de vite décamper. Mais, obstinée, elle recommença de frapper la jambe insensible du commandant. Celui-ci réagit cette fois, lançant son pied démesuré dans le ventre d'Elerinna, ce qui la fit décoller au moins dix mètres en arrière. Elle était tombée entre ledit squelette et la naine, combattant au côtés d'un puissant guerrier. De nouveau le géant marcha en ligne droite, cherchant la punaise qui osait le chatouiller.
Elerinna était frustrée, son plan n'avait rien changé, elle se faufila entre les multiples morts vivants pour échapper au regard du plus gros, qui fonçait sur les deux guerriers. La drow se rapprocha de ses deux partenaires, visiblement fatigués mais toujours debout. Elle ne put que constater qu'un affrontement entre l'homme à l'armure et son ancien adversaire était inévitable, et bientôt le guerrier se retrouvait en une position bien délicate, mettant en danger la naine qui le secondait. Elerinna préféra se concentrer sur son combat, après tout dans une guerre il y a toujours des pertes, dans les deux camps... Elle s'en voulut de les avoir conduit à pareille situation, et se défoula sur plus faibles qu'elle.
Un cri que jamais l'elfette n'aurait voulu entendre surplomba le brouhaha général causé par les impacts des armes entres elles et des armures cognées les unes aux autres. Le guerrier, à terre, venait de sonner la retraite. Le mage campé dans un arbre ordonna aux combattants de se replier le temps qu'il retienne l'avancée de la horde de ses sorts plutôt puissants. Mais seul il ne s'en sortirait pas.
-Je vais t'aider, le temps que le reste du groupe puisse bien reculer, je vais aussi retenir leurs assauts, cria-t-elle à l'attention du mage. Elle recula lentement lorsque le drow lui donna des indications sur ce qu'elle devait faire. " Repliez-vous jusqu’au magicien en assurant les arrières du groupe puis courez ! " Elle leva sa dague pour faire comprendre à son interlocuteur que le message était passé.
En marchant à reculons, Elerinna continuait de faucher les soldats, bien sûr elle n'arrivait pas à tous les avoir, mais le mage s'occupait du reste. arrivant à l'orée du bois, elle regarda en arrière pour se faire une idée de la distance à laquelle étaient les autres. Le guerrier avançait lentement, même aidé par la naine et le drow. Elle devrait donc rester un peu plus longtemps en avant, jusqu'au moment où elle pourrait aussi s'enfuir, accompagnée du mage.
-Quand tu les verras plus, on pourra se mettre à courir, alors regarde où ils en sont du haut de ton arbre, dès que c'est bon tu le dis. Elerinna n'était pas douée pour donner des ordres, mais elle préféra donner son point de vue, pour ne pas perdre de temps en réflexions. Quand le mage serait prêt, ils se montraient à courir aussi vite que possible jusqu'au repaire déniché par l'archère.
Doublon IG/RP D'Alex'heya
~Plus personne ne souillera les terres sacrées de Cheel, pas tant que je serais là...~
~Plus personne ne souillera les terres sacrées de Cheel, pas tant que je serais là...~
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
La horde de squelette avançait toujours vers le magicien, qui voyait mal comment sortir de ce guêpier. Elerinna avait décidé de rester, cela allait compliquer la tâche du combattant. Wayard lui cria, tout en repoussant les squelettes envahissant.
"Reste si tu veux, mais je te préviens que la magie que je vais utiliser va tuer tout ce qui se trouve autour de moi. Ne viens surtout pas pleurer auprès de moi, si tu as mal."
Wayard avait décidé d’utiliser son sort le plus dévastateur, qui risquerait bien de faire disparaître une partie de la Forêt. Il piqua un petit sprint en arrière, et fit volte face, il avait réussi à prendre un peu de recul pour avoir le temps de se concentrer. Il ferma les yeux, plus rien ne comptait, il médita, les feuilles des arbres alentours se détachèrent et vola autour du mage en formant un bouclier que les squelettes ne pouvaient traverser. Ensuite, les feuilles qui continuaient à affluer s’organisèrent en plusieurs tourbillons, Wayard lança les tourbillons vers les ennemis en face de lui. Une grande place se fit devant le mage, ce qui lui permit de composer son dernier sort en toute tranquillité. Toutes les feuilles restantes et les feuilles du bouclier se transformèrent en un tourbillon géant qui engloba une bonne partie de la forêt. Il lança le sort. Les feuilles tournèrent en face du mage pendant plusieurs minutes, qui pour Wayard lui parut une éternité.
Au bout de ces quelques minutes, Wayard un genou à terre, une main à terre pour se maintenir était à bout de souffle. Il scruta autour de lui pour remarquer que la forêt avait disparut sur un cercle autour de sa personne d’environ 500 mètres. Au début, il pensa que la victoire était acquise, mais au bout de quelques secondes, il remarqua que l’ennemi qu’Hercule avait affronté était toujours débout. La frustration put se lire sur le visage du Roi d’antan. La force lui manquait pour continuer le combat, de même pour tenter de fuir. Le géant s’avança tout doucement vers le mage, toujours à terre. Il ricana maintenant, tout en insultant le groupe qui lui avait donné du fil à retordre. A 20 mètre du mage, il s’arrêta, narguant Wayard. Le Paladin ne comprit pas tout de suite ce que ce géant attendait, mais très vite son interrogation prit fin quand une seconde horde de squelettes dépassa le géant et avança vers l’homme toujours agenouillé.
Les squelettes étaient tout autour de Wayard et le maintenait à terre, il était entouré, perdu, à bout d’énergie.
A ce moment là, une éblouissante lumière inonda la forêt. A l’endroit de la bataille, il ne restait que les cadavres de squelettes et du géant enfin vaincu.
"Reste si tu veux, mais je te préviens que la magie que je vais utiliser va tuer tout ce qui se trouve autour de moi. Ne viens surtout pas pleurer auprès de moi, si tu as mal."
Wayard avait décidé d’utiliser son sort le plus dévastateur, qui risquerait bien de faire disparaître une partie de la Forêt. Il piqua un petit sprint en arrière, et fit volte face, il avait réussi à prendre un peu de recul pour avoir le temps de se concentrer. Il ferma les yeux, plus rien ne comptait, il médita, les feuilles des arbres alentours se détachèrent et vola autour du mage en formant un bouclier que les squelettes ne pouvaient traverser. Ensuite, les feuilles qui continuaient à affluer s’organisèrent en plusieurs tourbillons, Wayard lança les tourbillons vers les ennemis en face de lui. Une grande place se fit devant le mage, ce qui lui permit de composer son dernier sort en toute tranquillité. Toutes les feuilles restantes et les feuilles du bouclier se transformèrent en un tourbillon géant qui engloba une bonne partie de la forêt. Il lança le sort. Les feuilles tournèrent en face du mage pendant plusieurs minutes, qui pour Wayard lui parut une éternité.
Au bout de ces quelques minutes, Wayard un genou à terre, une main à terre pour se maintenir était à bout de souffle. Il scruta autour de lui pour remarquer que la forêt avait disparut sur un cercle autour de sa personne d’environ 500 mètres. Au début, il pensa que la victoire était acquise, mais au bout de quelques secondes, il remarqua que l’ennemi qu’Hercule avait affronté était toujours débout. La frustration put se lire sur le visage du Roi d’antan. La force lui manquait pour continuer le combat, de même pour tenter de fuir. Le géant s’avança tout doucement vers le mage, toujours à terre. Il ricana maintenant, tout en insultant le groupe qui lui avait donné du fil à retordre. A 20 mètre du mage, il s’arrêta, narguant Wayard. Le Paladin ne comprit pas tout de suite ce que ce géant attendait, mais très vite son interrogation prit fin quand une seconde horde de squelettes dépassa le géant et avança vers l’homme toujours agenouillé.
Les squelettes étaient tout autour de Wayard et le maintenait à terre, il était entouré, perdu, à bout d’énergie.
A ce moment là, une éblouissante lumière inonda la forêt. A l’endroit de la bataille, il ne restait que les cadavres de squelettes et du géant enfin vaincu.
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
L'avancée dans le tunnel n'était pas périlleuse , Cathari connaissait très bien cet endroit pour avoir pendant de nombreuses journées errer dedans . Les souvenirs remontaient au fur et a mesure . La guerre et le nombre de mort chez les Namida .
"Ne pense pas à ça pour le moment , cette période est révolue " Se hurla Cathari à elle même.
Elle continua a marcher dans le tunnel , elle cherchais une cavité spécifique , en effet cette cavité permettrait de contenir tout le monde et surtout il y avait encore des réserve de bois inutilisé. Nous pourrons ainsi faire un feu et panser les éventuels blessée de cet assaut squelettique.
Après encore 5 minutes dans le passage humide , Cathari trouva la cavité désiré. Et soulagement il restait quelques bûches pour le feu tant espéré. Même si ce feu ne serait pas d'une grande aide pour réchauffer l'ensemble des membres , il serait toujours efficace pour faire de la lumière .
Les bûches furent placées au milieu de la cavité. L'elfe s'adressa a Kaevann
" Du feu se serait possible ?"
" Nous devons nous reposer dans cette cavité , demain , nous reprendrons la route dès que Wayard nous aura rejoins, je connais un autre chemin pour nous conduire a Ertuen , il sera plus long mais sans doute moins peuplé de squellettes et de morts vivants. Profitons en pour nous restaurer et panser nos plaies.."
"Ne pense pas à ça pour le moment , cette période est révolue " Se hurla Cathari à elle même.
Elle continua a marcher dans le tunnel , elle cherchais une cavité spécifique , en effet cette cavité permettrait de contenir tout le monde et surtout il y avait encore des réserve de bois inutilisé. Nous pourrons ainsi faire un feu et panser les éventuels blessée de cet assaut squelettique.
Après encore 5 minutes dans le passage humide , Cathari trouva la cavité désiré. Et soulagement il restait quelques bûches pour le feu tant espéré. Même si ce feu ne serait pas d'une grande aide pour réchauffer l'ensemble des membres , il serait toujours efficace pour faire de la lumière .
Les bûches furent placées au milieu de la cavité. L'elfe s'adressa a Kaevann
" Du feu se serait possible ?"
" Nous devons nous reposer dans cette cavité , demain , nous reprendrons la route dès que Wayard nous aura rejoins, je connais un autre chemin pour nous conduire a Ertuen , il sera plus long mais sans doute moins peuplé de squellettes et de morts vivants. Profitons en pour nous restaurer et panser nos plaies.."
La pire des perversions n'est rien par rapport aux sévices que peut infliger une Chamane.
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
La corruption de mon âme sera à la hauteur de la souffrance ressentie...
Re: Guilde en voyage vers Ertuen
hercule était encore à genoux, haletant et transpirant de tout son corps. Il était vidé... Il voyait flou et entendait comme des échos tout autour de lui... Armalia vint le relever, difficilement, chaque mouvement de son corps accentuait son mal de tête.
- merci... Armalia...
Il s'appuya tant bien que mal, les squelettes affluaient encore et encore. Le géant avait lui aussi du mal à se relever, la magie l'animant n'était pas assez forte pour des mouvements rapide et précis.
- vvi..tt..ee.. n..nous devons nous replier...
Il sentait à peine les mouvement d'armalia, parant et tranchant, n'importe quel squelette voulant finir avec leur vies. Il reprenait un peu plus d'énergie, voyant un peu plus correctment, il aperçut Wayard, s'approchant afin de dégager le chemin. Il arriva vers le paladin et parla. Hercule ne comprit que quelque mots dans le brouhaha de sa tête :
- ... emporte les... personne ne reste... retraite... les retenir... plus tard...
Il ne voyait que le visage sérieux et crispé de Wayard et un regard qui voulait en dire long et c'est grâce à ce regard que l'inquisiteur compris. Un hochement de tête suffit à dire au mage qu'hercule avait compris. Il reprit plus de force sur ces appuis aidant considérablement Armalia à progresser plus vite. Ils arrivèrent devant une grotte et c'est à ce moment la, qu'un flash lumineux suivit d'un grand souffle assourdissant qui fit trébucher hercule. Armalia revint en arrière pour le tirer dans la caverne.
Ils trouvèrent un endroit pour se reposer et se soigner. A bout de souffle, hercule s'affala et s'endormit sans demander son reste.
- Alllooorrrsss... ce n'était pas jouiisssiiifff ?
- Hein ??
Hercule se réveilla et se trouva au milieu d'une brume épaisse, dans le noir...
- allez... ne soit pas timide, dis moi ce que tu as ressentit, hhuuummm ???
- Montre toi !! je sais que tu es la !!
Hercule dégaina son arme et balaya le vide. Il n'était plus dans la caverne, il ne sentait plus la mousse moisissant ni l'odeur de l’oxygène se raréfiant. Il ne savait pas ou il était mais il savait qu'il était la...
Une silhouette apparut devant lui :
- Alors qu'en dis tu ?
- D..de quoi ?
- Bah de ma nouvelle apparence ? tu as du oublier comment j'étais de mon vivant... avant que tu ne me tues... rahalala... drôle de mémoire... enfin bref !! j’espère que je ne te choque pas avec cet acoutrement. le damné plaça ses mains sur ses hanches, je ne veux surtout pas effrayer mon hôte... dit-il avec un sourire carnassier...
hercule ne comprenait toujours ce qu'il se passait... était il dans son esprit ou dans un autre monde...
- Je ne suis pas ton hôte !! hurla-t-il
Il plongea, lame devant lui, vers l'homme et au moment ou l'arme allait pénétrer l'individu, ce dernier avait subitement disparu. Une lumière apparut comme si un seul rayon du soleil marquait le sol et Le damné fit apparition comme sortit du néant...
- tu ne crois tout de même pas que tu pouvais me toucher... HAHAHAHAHAHA !! le damné était courbé sur lui même ricanant de tout son être, c'est la chose la plus drôle qui m'arrive depuis que je me suis insinué en toi... puis se redressa comme un manche à balai, à une vitesse incroyable, voyons, tu es chez moi ici...
En un instant, il se tenait à quelques centimètres du visage d'hercule. le paladin sentit soudain ses forces l'abandonner, il lâcha son arme à terre et se mit à genoux.
- Je...je.. ne contrôle plus rien...
Le damné se pencha lentement vers l'inquisiteur et lui releva le visage pour le fixer. Hercule pouvait imaginer ses yeux diaboliques à travers le masque de ce dernier.
- merci... Armalia...
Il s'appuya tant bien que mal, les squelettes affluaient encore et encore. Le géant avait lui aussi du mal à se relever, la magie l'animant n'était pas assez forte pour des mouvements rapide et précis.
- vvi..tt..ee.. n..nous devons nous replier...
Il sentait à peine les mouvement d'armalia, parant et tranchant, n'importe quel squelette voulant finir avec leur vies. Il reprenait un peu plus d'énergie, voyant un peu plus correctment, il aperçut Wayard, s'approchant afin de dégager le chemin. Il arriva vers le paladin et parla. Hercule ne comprit que quelque mots dans le brouhaha de sa tête :
- ... emporte les... personne ne reste... retraite... les retenir... plus tard...
Il ne voyait que le visage sérieux et crispé de Wayard et un regard qui voulait en dire long et c'est grâce à ce regard que l'inquisiteur compris. Un hochement de tête suffit à dire au mage qu'hercule avait compris. Il reprit plus de force sur ces appuis aidant considérablement Armalia à progresser plus vite. Ils arrivèrent devant une grotte et c'est à ce moment la, qu'un flash lumineux suivit d'un grand souffle assourdissant qui fit trébucher hercule. Armalia revint en arrière pour le tirer dans la caverne.
Ils trouvèrent un endroit pour se reposer et se soigner. A bout de souffle, hercule s'affala et s'endormit sans demander son reste.
- Alllooorrrsss... ce n'était pas jouiisssiiifff ?
- Hein ??
Hercule se réveilla et se trouva au milieu d'une brume épaisse, dans le noir...
- allez... ne soit pas timide, dis moi ce que tu as ressentit, hhuuummm ???
- Montre toi !! je sais que tu es la !!
Hercule dégaina son arme et balaya le vide. Il n'était plus dans la caverne, il ne sentait plus la mousse moisissant ni l'odeur de l’oxygène se raréfiant. Il ne savait pas ou il était mais il savait qu'il était la...
Une silhouette apparut devant lui :
- Alors qu'en dis tu ?
- D..de quoi ?
- Bah de ma nouvelle apparence ? tu as du oublier comment j'étais de mon vivant... avant que tu ne me tues... rahalala... drôle de mémoire... enfin bref !! j’espère que je ne te choque pas avec cet acoutrement. le damné plaça ses mains sur ses hanches, je ne veux surtout pas effrayer mon hôte... dit-il avec un sourire carnassier...
hercule ne comprenait toujours ce qu'il se passait... était il dans son esprit ou dans un autre monde...
- Je ne suis pas ton hôte !! hurla-t-il
Il plongea, lame devant lui, vers l'homme et au moment ou l'arme allait pénétrer l'individu, ce dernier avait subitement disparu. Une lumière apparut comme si un seul rayon du soleil marquait le sol et Le damné fit apparition comme sortit du néant...
- tu ne crois tout de même pas que tu pouvais me toucher... HAHAHAHAHAHA !! le damné était courbé sur lui même ricanant de tout son être, c'est la chose la plus drôle qui m'arrive depuis que je me suis insinué en toi... puis se redressa comme un manche à balai, à une vitesse incroyable, voyons, tu es chez moi ici...
En un instant, il se tenait à quelques centimètres du visage d'hercule. le paladin sentit soudain ses forces l'abandonner, il lâcha son arme à terre et se mit à genoux.
- Je...je.. ne contrôle plus rien...
Le damné se pencha lentement vers l'inquisiteur et lui releva le visage pour le fixer. Hercule pouvait imaginer ses yeux diaboliques à travers le masque de ce dernier.