[Quête officielle] Pillage sur l’île

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[Quête] Pillage sur l’île

Introduction

Pendant que les Dieux décident du sort de la Tédéhessie et que les représentants des peuples rencontrent leurs créateurs - des bandes armées et des politiciens sans vergogne tentent de profiter de l’Ere Crépusculaire.

Barbares, hordes de cavaliers, armés à l’abandon, mercenaires impayés : voilà les horribles maux de ce temps. Ils vont et viennent de ville en ville ; ravageant les campagnes pour célébrer la fin de notre époque. Que de scènes de viols et de massacres !

Repoussées du centre par une coalition humaine et vampire menée par la Famille des Equus, les troupes de guerriers sanguinaires s’entretuent et s’éparpillent aux portes des Montagnes.

La Quête



Le petit village de Granl, au cœur d’une vallée boisée, est la cible d’une attaque de pillards. Depuis des siècles, humains, nains et quelques apatrides, sont les habitants de cet endroit rural.

Incarnez un nouveau personnage RP pour participer à cet évènement ! Pillard ou villageois : choisissez votre camp !!

Le village de Granl est constitué:

–d’un ancien Châtelet de pierre fortifiée
- d’une caserne en bois comptant 25 soldats
- d’une église
- de deux blocs de maison en pierre où les habitants n’ont pas encore été évacué (125 habitants)
- d’une périphérie de ferme dont la plus lointaine se trouve à 10km (40 habitants)
- d’une scierie
- d’une épicerie
-d’une cave à vin réputée, connu sous le nom de « La Nain Bougon »

Les pillards viennent d’être repérés sur la route qui descend au village. A vous de jouez !

[Equus]

Une après-midi entière a écouter les confessions des épouses de paysans... Je n'en pouvais plus. Moi Ronald Mc Bonald, je n'avais pas embrassé la voix du Presbytère pour écouter ce genre d'histoires. Certes, le clergé d'Urpis m'avait exilé aux portes des Montagnes pour me punir d'une petite sauterie avec les nonnes ! Mais dans quel état me trouvais-je aujourd'hui ? Les histoires de fessées de Madame avec son mari, les histoires de Monsieur avec sa voisine. La fin du monde ne ralentissait pas les débauches et les petits mœurs invertueux ( au contraire ! ) tout émoustillé je du me servir un peu de vin béni pour décompresser -

- Quand des cris résonnèrent au devant de l'église !

Les barbares arrivent !

Je montais ( difficilement ) au clocher pour sonner le tocsin.

[Cathari]

Je rangeais les dernières provisions que j'avais reçu du marchand itinérant de la veille.

Viandes séchées, venaison de Bewok, carise et baie bien fraiches, un vrai bonheur pour moi d'avoir ses victuailles a vendre aux villageois.

C'est a ce moment quand j'entendis le tocsin sonné en plein cœur de la journée . je venais de péniblement terminer ma tache quand je me précipita au dehors , où je voyais des enfants encore entrain de jouer avec des morceaux de bois .

Je me précipita vers eux :

" Sauvez vous, vous n'avez pas compris ce que veux dire ce bruit si sinistre ? Vous connaisez la legende du village ? Ecouter cette phrase :

"Ne soyez pas surpris, le tocsin a sonné ! Mettez bien à l'abri infirmes, vieillards, enfants ! Chacun aura le prix entier à payer ! Implorez ma merci, à l'heure du jugement !"

Courrez les enfants, mettez vous à l'abri , "

Il détalèrent comme des lapins vers leurs chaumières , je courru a mon echoppe sortir un vieille épée emousée, et je me rendis à l'eglise.

Je poussais péniblement la porte .

" Grand pretre où être vous , pouquoi avoir sonné cette cloches, nous sommes envahis ?

[Visium]

* Résultats des actions

Le tocsin a prévenu les habitants de Granl qu'un danger approchait.

Bientôt la corne de brume du Chatêlet résonne à son tour et tous les habitants sont au courant qu'une attaque est imminente.

[Equus]

" Ma petite Lusérina, les barbares arrivent ! Et je crois que les murs de l'église ne pourront pas nous protéger. Nous devrions appeler les villageois à nous suivre jusqu'au Châtelet. Les soldats ont fait retentir la corne de brume : ils pourront nous défendre ! "

[Cathari]

J'étais abasourdi par les paroles du prêtre.

" Père , en êtes vous sure , des barbares viendraient piller notre petit village ..."

J'empoignais avec plus de panache mon épée .

" Qu'ils viennent je suis determinée a me battre pour le salut des miens !! Je vais allez reuni les villageois qui restent aux alentours pour les conduires au Chatelet ... j'espère qu'il ne feront pas les froussard , nous devons nous defendre "

[Aylan]

À l'entente du tocsin, je me réveillais de ma légère sieste. Ma vie n'était pas des plus intéressante, en tout cas comparée à celle que je vivais avant de venir ici. Je saisi ma lance aussi rapidement que possible, m'attendant à voir une horde de monstre m'agresser, ou un groupe armé de pilleurs tenter de s'emparer de ma vie, mais je ne voyais rien pour l'instant.

J'hésitais pendant quelques secondes, ne sachant pas si le tocsin était réel ou si l'abus de bière avait complètement engourdi mes sens.

Je rejoignis la source du bruit en toute hâte, et atteint l'église. Je partis trouver le prêtre qui s'y trouvait, et lui demandais :

-Que se passe-t-il ? On nous attaque ? Est-ce que vous allez bien ?

Je n'étais pas quelqu'un de très religieux, mais j'avais un profond respect pour toute forme de vie humaine, et tenais à défendre qui que ce soit, pourvu qu'il mérite de vivre à mes yeux.

[Laethan]

Et voilà... voilà ! VOILÀ !!!

Le tocsin sonne, ses cloches résonnent à mes oreilles et le tintinnabulement strident m'est insupportable !

Qu'est-ce que je raconte encore ? Ces cloches ne tintinnabulent plus depuis longtemps... elles doivent être rouillées !

Ou alors je confond...

Je sortais tout juste de ma vieille alcôve poussiéreuse, sous l'église, là où mon cercueil se trouve.

Trouvait ? Je ne sais pas, je dors dedans, mais ça ne ressemble plus à un cercueil depuis au moins deux-cent ans...

J'enfilais ma cape, puis rajoutais par dessus ma cape et enfin, je mis ma cape, mais cette fois, celle avec capuche.

J'attrapais mon chapelet de parchemins ensorcelés et mon grimoire de magie sordide, puis me dirigeais vers l'escalier de la crypte. Je montais.

Il y avait déjà dans le hall de l'église une réunion plutôt conséquente pour un jour sans messe.

J'extirpais mes vieux ossements de la petite porte de la crypte. Elle était certes très bien pour le prêtre, mais un peu basse pour quelqu'un comme moi.

Comment ça, ce n'est pas le prêtre qui a construit l’église ?

Je m'approchais de la réunion :

"Bonjour à tous. Beau temps, n'est-ce pas ? Un temps à ne pas mettre le nez dehors... Dites moi, qu'est-ce qui amène d'aussi sympathiques personnes ici un jour aussi banal que celui-ci ?"

[Equus]

Des guerriers assez rutilant s'approchèrent et je sentis que tout n'était pas perdu : " Messieurs je ne sais pas de quelle planète vous débarquez, mais depuis que les Dieux ont invité les représentant des peuples a les rejoindre au Palais Éternel, des bandes de pillards massacrent les campagnes. Et au cas où vous ne l'auriez pas remarquer, nous sommes à la campagne !!! "

Les villageois s'émeutaient autour de nous.

" Allons tous nous réfugier au Châtelet du Baron ! Mais si quelqu'un de courageux possède un cheval pour aller prévenir les habitants des fermes, il pourrait essayer d'aller les sauver des barbares ! "

[Alexendra]

Aaaah, que c'est bon d'enfin pouvoir se dégourdir les jambes sans craindre de se faire arrêter par le premier imbécile qui a eu connaissance d'un avis de recherche me concernant. De toute façon il n'y a plus rien pour nous mettre sur la paille, les gardes sont trop dépassés pour s'occuper de la pègre. Enfin c'est d'un vulgaire, comme si une femme aussi raffinée pouvait appartenir à une communauté de truands...

Je ne fais que m'associer temporairement, rien de plus. J'ai d'ailleurs la chance d'être en compagnie d'un vampire pour cette excursion dans la cambrousse, un dénommé Xavier, peu causant, trop peu... Notre objectif? Un petit village sans intérêt particulier, je n'y vais que pour m'amuser, les viols et tortures sur les femmes et enfants sont pour les sauvages, pas pour moi. Je suis là pour le butin, l'argent, et éventuellement les beaux garçons, même si ils risquent malheureusement de ne pas accepter les avances d'une voleuse...

Nous approchions du centre ville, même s'il était encore assez loin. Les éclaireurs, sensés être discrets, étaient partis loin devant pour tâter les terrain sans se faire remarquer. Je sus au son du clocher de l'église qu'ils avaient fait leur travail à merveille... Bon, de toute façon il n'y a rien de mieux qu'un peu de résistance, gagner de l'or sans verser un minimum de sang ça n'a aucun intérêt, autant faire du vol à la tire.

"Xavier, mis à part faire la gueule, tu peux avoir l'air enjoué à l'idée de goutter les jeunes fermières du coin? Bon, bouge toi, je préfère commencer par les fermes plutôt que de m'aventurer de suite dans le bordel qu'ils viennent de créer..."

Alors que le village se trouvait en face, je déviais sur la gauche, marchant d'un pas déhanché vers l'émission de fumée la plus proche de notre position. J'enlevais mon sabre de son fourreau, mon arbalète accrochée à mon dos, et marchais gaiement vers ma première cible, toute en chantonnant.